La ville va autoriser une entreprise privée à construire des ombrières sur les parkings, mais l’électricité restera au constructeur pour une durée de 30 ans en échange d’une soulte de 55 000 €.

– Le conseil a voté la délégation de service public du cinéma lorsque ce dernier sera terminé. Une seule offre a été présentée. L’association la Toile de Mer a été retenue pour une période de 6 ans. Pour les jours d’ouverture 7 sur 7 avec 4 séances par jour l’association prendra exemple sur les partenaires le cinéma PAX au Pouliguen et le cinéma à La Turballe. Selon le maire, " la salle du cinéma devrait être livrée à la fin de l’année."


- Le conseil a également voté un fond de concours de la CARENE pour l’aménagement de voirie en faveur des liaisons cyclables en particulier une piste cyclable Boulevard de la République et un abri pour louer et stationner des vélos. Coût total 654 424 € la CARENE participe à hauteur de 325 893 €.


Yannick Joubert fait remarquer au maire que l’on devrait plutôt parler de voie cyclable au lieu de piste cyclable. Selon ce dernier, une piste cyclable est plus lourde en investissement. Il fait remarquer que les pistes cyclables devraient être prioritaires entre le lieu de vie des familles (Les Forges) et les lieux culturels et d’éducation.


Le maire dans sa réponse fait état d’un problème de largeur des rues à Pornichet en prenant pour exemple la rue Emile Outier. « Je ne vais pas exproprier les gens. »


La ville a reçu une proposition d’installation d’ombrières photovoltaïques sur les parkings de l’hippodrome, du stade Célestin Lalande, et sur 3 terrains de tennis. Yannick Joubert reproche au projet « la privation de l’espace public pour qu ‘un prestataire privé puisse installer des panneaux photovoltaïques, capte l’énergie et revend l’énergie. Qu’est-ce que Pornichet va y gagner quand on connaît le prix et la rareté de l’énergie, et ne pas faire profiter aux Pornichétins de cette énergie. À qui profite cette production électrique ? En échange de l’électricité récoltée sur l’espace public, l'entreprise sélectionnée donnera 25 000 € sur trente ans à la commune ce qui fait 800 € par an. L’opposition ne comprend pas que la ville n’investisse pas elle-même dans la production d’électricité. L’adjoint Jean-Paul Allanic précise que c’est 55 000 € sur 30 ans et qu’en échange l’entreprise construira les toitures des 3 tennis.

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