Sandrine Josso a annoncé ce matin sur RMC reprendre aujourd’hui son activité de députée à l’Assemblée nationale. Elle portera une question au gouvernement sur le sujet des personnes droguées à leur insu.
« Je vais interpeller le gouvernement pour leur demander d’agir pour faire en sorte que la soumission chimique ne puisse pas continuer ainsi dans notre pays. » « Il est urgent de mettre des choses en place. »
Elle a fait dans la langue de bois sur la procédure Joël Guerriau « il faut que la peur change de camp, le droit des victimes est inférieur au droit des coupables. »
« Pour les victimes, il faut que le stress post-traumatique soit mieux pris en compte pour mieux se réparer et retrouver une vie normale après. »
Ella a précisé qu’elle n’appréhendait pas le retour à l’Assemblée nationale, mais qu’il « fallait du courage pour affronter le regard des autres, le questionnement. » Elle a annoncé faire le travail pour que les membres du gouvernement agissent sur cette question. La rumeur politique laisse entrevoir que la députée Sandrine Josso pourrait avoir un poste de secrétaire d’Etat.
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je suppose et espère qu’il y aura aussi une opération place nette anti-drogues XXL au Parlement ( Assemblée et Sénat), afin de protéger nos pauvres élu (e)s victimes de soumission chimique dans le décors des garçonnières et bureaux de fonction.
Luttons contre les petits sachets blancs qui circulent ( selon les propos des élus eux-mêmes.)
Madame Josso soulève un problème plus large que la soumission chimique: elle évoque la dangerosité qui plane au-dessus de nos institutions délibératives et par ricochet sur nos têtes, par le fait de la consommation de drogue de personnes qui débattent et décident des lois qui nous dirigent. Bibi est-il foncedé?
Marine Le Pen évoque que les dealers sont des migrants en situation irrégulière. Est ce que ce sont eux aussi qui » harcèlent » nos vulnérables élus? Qui a fourni l’auteur dont est victime notre députée?
Question primordiale. J’espère que les présidents des deux chambres lui seront reconnaissants de l’avoir posée. et d’avoir dénoncé le phénomène.