France Bleu révèle qu’à peine installés les lampadaires du remblai commencent à rouiller.
La ville de Pornichet a dû rappeler le fournisseur pour qu’il enlève les 56 candélabres qu’il venait de poser sur le front de mer. Précise France Bleu.
Le maire de Pornichet, reste philosophe. “Ce sont les aléas d’un chantier, une malfaçon, ça arrive. Là, la peinture n’a pas tenu et le fournisseur prend tout en charge sans faire d’histoire. Encore heureux !”
Ça rappelle l’époque où le maire de Pornichet critiquait son prédécesseur pour la mauvaise gestion de la construction de l’hippodrome. (Fuites d’eau) Un but partout la balle au centre.
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Ça rappelle l’époque où le maire de Pornichet critiquait son prédécesseur pour la mauvaise gestion de la construction de l’hippodrome. (Fuites d’eau)* Un but partout la balle au centre.
Tous ces grands bâtisseurs n’avaient pas intégré que Pornichet se situait au bord de la mer.
* plus rouille sur les supers structures métalliques, ce qui nous avait valu une diatribe du maire actuel sur l’impossibilité de traiter la rouille sur une charpente métallique installée ?
Ce pauvre ingénieur en chaudronnerie ne connaissait pas le traitement par projection thermique (flamme ou plasma) d’alliages de base zinc, cuivre, nickel ou étain et de céramiques sous forme de baguettes, « b a ba de la profession » Démonstration, une fois de plus, du principe de Peter (syndrome du manager incompétent)
Carton rouge au maire de Pornichet et son adjoint aux sports : l’ESP foot obligé d’aller jouer à Saint-Nazaire ! Les Tchac, raccourci qui veut dire Tchac côté de l’eau, regroupe Corsept, Frossay, Orvault, et un moindre nombre de joueurs du club d’ultimate ça et là sur la presqu’île. Curieuses manières d’éjecter le club local fondé en 1940 évoluant à l’origine sur le stade L.Mahé lui aussi relégué et voué à l’immobilier. Sans doute que lors de sa prochaine campagne le maire ira à la pêche…aux voix de T’chaque côté de l’eau. C’est ce qu’on appelle le sens de la vision élargie ! Ingérence, quand tu nous tiens.
L’ESP foot privée de terrain ! plus de 600 licenciés, évoluant dans des conditions déjà étriquées, sans projet de nouvelles structures dignes d’une octogénaire de renommée régionale. Est-ce là les meilleures conditions de préparation ? Reconnaissance ou ingratitude envers le rôle de bénévole ? De quoi se moquer de la mémoire de celles et ceux qui ont grandement œuvré à l’évolution des installations, de ceux qui œuvrent au quotidien. À qui doit-on cette bévue ? Manquerait plus que cette décision soit concoctée par d’anciens sportifs qui ont oubliés d’où ils viennent ?
Un homme sans mémoire est comme un arbre sans racines… Jean Cau.