Le maire de Pornichet a inauguré la passerelle pour rejoindre le vieux môle. Il était accompagné du maire de Saint-Nazaire, de Lydie Mahé et des membres de l’Association pour la protection du site et la valorisation du patrimoine de Pornichet.

Une petite fête s’en est suivie avec le Bagad Ar Poullig Gwenn, Pornichet fêtait également la fin des travaux du remblai.

Photo Bouvry

Cet article a 9 commentaires

  1. Billet

    Dans ce sens, les commentaires de la rédaction sont plutôt courts ….
    En manque d’inspiration positive ????

    Rédaction
    La rédaction à la différence avec d’autres n’est pas aux ordres. D’autant moins quand le maire se comporte mal avec notre média.

  2. julie

    à la redaction-Votre analyse est un jugement de valeur, mais ce n’est pas une présentation basée sur des faits… principe même du métier de journaliste

    apparemment, en lisant toutes les rubriques, il n’y a pas qu avec le maire de Pornichet que vous avez des difficultés….
    Celui qui concentre des difficultés relationnelles avec beaucoup d’autres personnes en est généralement la source.
    Bien à vous

    Rédaction
    Comme nous le disons souvent nous sommes un média d’opinion et c’est vrai que l’on ne peut pas plaire à tout le monde.
    Celà étant quand on utilise des moyens répréhensibles pour nous empêcher d’exercer ça s’appelle de la dictature. Cordialement.

  3. Apostrophes

    Ces inaugurations voila à quoi ça fait penser : à l’image de ces sportifs/stars portés aux nues uniquement par l’argent. Certains maires, coupeurs de ruban, feraient bien de retrouver le chemin de la simplicité.
    Soigner son image par la célébration de son œuvre ou à l’occasion de la réalisation d’un ouvrage qui se devait d’être, traduit une personnalité imbue et sans partage des valeurs collectives. Vraie raison d’être d’un travail en équipe. Quand la gloriole dépasse tout le reste. Quand l’égoïsme prend le pas sur le collégial. La façon d’être ne réside pas en la manière de dire les choses mais bien plus de les accomplir.
    Le panache, toujours le panache ! Ça vous occulte le mérite d’autrui.

  4. Help!

    Encore heureux ! Nous ne sommes pas sur un réseau partial, alimenté par : inconditionnels, fans, groupies, potiches, lèche-bottes, bénis oui-oui, etc. manquerai plus que ça !
    Bref, fan de ou pas, où est la limite? Qu’est-ce qu’un bon électeur ou un mauvais ? Un bon et un mauvais votant ?
    Comment ne pas se faire emberlificoter, là est bien la question ? Naïfs, naïves, pas tant que ça ! Tous par intérêts. On peut se dire que le conseil, fait de bric et de broc, n’agit pas. Faute de savoir vraiment où il va. Sans ligne directrice ni projet clair et partagé. L’impression d’une troupe sans personnalité, menée à la baguette d’un chevalier d’industrie visant à soigner son image dans l’optique des municipales.

  5. Michèle Adam

    Cette photo dispense de tout commentaire: trois pelés et un tondu; Tout cela pour ça? Combien de Pornichétin(e)s ont mis des sous dans la cagnotte? ( 200 ?)
    Moi ce qui m’importe c’est le port d’échouage et le service mis à disposition des « petits « plaisanciers » . Vive les petits bateaux qui vont sur l’eau et leur navigateurs qui y puisent plaisir et bonne santé sans polluer!

  6. Françoise

    Il paraît qu’on est pas mal endetté mais on a bien trouvé de l’argent pour fêter en grande pompe une faillie passerelle. Faut quand même pas pousser. C’est de l’autosatisfaction. Quelle démesure. Donne des jeux au peuple et ils oublieront l’essentiel.

  7. Herbert

    « Créer des passerelles plutôt qu’ériger des murs » ceci résume la politique antinomique municipale. Une jetée qui ne mène nulle part, une urbanisation anachronique, hétéroclite. Dans l’ombre Mr Pelleteur se prépare un troisième mandat. Et s’y voit déjà. Quid du Pornichet de demain ? Entre se jeter dans le vide idéologique, des discours sans lendemain, des projets cachés ou ressortir ceux étouffés dont lui seul a le quasi secret (une Polichinelle).
    Faire se rejoindre les idées plus qu’imposer les siennes… serait un vrai programme. Développer le vivre ensemble, par la rencontre, l’écoute, plutôt que de vivre dans la crainte des autres. Mais se faire rembarrer à tout bout de champ est aujourd’hui l’empreinte qui règne en conseil.
    Apprendre à faire tomber les murs qui nous séparent, à les transformer en ponts, afin de vivre des relations ouvertes, vraies et vivifiantes… à sortir de la violence verbale malheureusement coutumière ! Sans doute que les clés de la transition nécessaire se trouvent là. Car il est impossible de continuer sur ce même registre ne serait-ce qu’un mandat de plus. Personne ne peut s’affirmer dans une telle ambiance. Cela n’aide pas à élargir notre regard.
    Relier nos univers. Exister c’est donner son point de vue, c’est aussi ouvrir une vanne à tant de nouveaux possibles. Souhaiter un candidat faisant preuve d’empathie et d’assertivité ne serait pas usurpé. Quand le but recherché est essentiellement « tape à l’œil », l’humain passe à la trappe !

  8. Julien

    @Herbert,
    quand je lis la violence de vos propos, j’ai d’énormes doutes quand à votre capacité d’échange et d’assertivité.
    en gros, vous êtes pour l’écoute….. mais surtout de vous même.
    La démonstration se retrouve dès les premières lignes de vos propos sur la « passerelle qui ne mène nulle part ». Quand on constate l’attachement affectif des pornichétins anciens par leur présence dans la commune, on ne peut que conclure que si vous entendez … peut-être…. vous n’écoutez pas beaucoup.
    hahahah

  9. Herbert

    Julien, « on voit plus facilement la paille dans l’œil de son voisin, mais, pas la poutre dans le sien ». Quant à l’attachement affectif des anciens de Pornichet, vous n’avez pas le monopole de la mémoire. Ou comme votre mentor vous en faite une interprétation factice. Sans un regard sur le passé, l’immobilier sur le stade L. Mahé en témoigne. Et toujours sans compensation, sans projet de nouvelles structures convenables pour la pratique des sports. On ne peut dire que les conseils soient source de fécondité intellectuelle. La variété de pensée, la différence, l’altérité, y sont totalement bannies. La pensée unique règne ! Je pense au contraire que le partage, la transparence pourrait donner du sens à ce qu’on vit. Autre qu’une attitude « fake » qui ne passe pas.

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