Le maire de Pornichet a annoncé sur sa page Facebook, pompeusement appelée Breaking News, qu’il allait se représenter pour un 3 mandat.

« Depuis dix ans, nous avons transformé ensemble notre ville. 

Front de mer modernisé et végétalisé, aménagements de voirie, cinéma et nouvelles salles municipales, pistes cyclables, aires de jeux pour les enfants…

Beaucoup a été fait. Mais beaucoup reste à faire.

C’est pourquoi j’ai décidé d’être candidat à un troisième mandat de maire de Pornichet. » 

Sans doute poussé par une partie de sa majorité, et par les ambitions, le maire de Pornichet a annoncé dans l’Écho le renouvellement de 50 % de son équipe.

Le maire de Pornichet, qui était allé chercher l’investiture macroniste en 2020, se dit divers droite, ce qui est commode et permet d’aller du côté du vent.

Cet article a 53 commentaires

  1. Pierre

    Bravo M. Pelleteur !

    71 ans !
    Vous  réussissez même l’exploit d’être plus vieux que l’électorat moyen de Pornichet.
    Chapeau l’artiste !

    À la lecture de Ouest-France, on découvre que vous repartez sans projet, avec 50% de votre équipe en moins.
    Problème : chaque élu pense faire partie des fameux « 50 % qui restent ».
    Résultat prévisible : ambiance Santa Barbara dans les semaines à venir !

    On apprend aussi que « c’est dur d’être critiqué sur les réseaux », et que, donc, certainement, y retourner en mettant votre ego d’homme providentiel de côté est un sacrifice personnel au profit de Pornichet. C’est beau l’abnégation…

    Par contre on ne lit pas que vous avez promis a vos deux dauphins, chacun de leur côté,  que vous leur passeriez la main en cours de mandat.
    L’ego n’est donc pas complètement en pause : « Après moi le déluge, donc mon gars, j’y retourne pour être sûr qu’on soit élu et après je te laisse le trône ! Tope là ! »

    Deux hypothèses :
    – Soit c’est un mensonge pour garder tout le monde au chaud et éviter une liste concurrente avec un vrai projet et un peu d’énergie (enfin pour un des deux dapuhins, l’autre ayant comme projet d’appliquer sa méthode habituelle du « courage, fuyons ! »…)
    – Soit c’est vrai, et dans ce cas ce futur maire par défaut sera l’héritier d’un marché de couloir, sans aucune légitimité démocratique, ne pourra rien faire et vous fera briller par défaut… avoir fait peu c’est toujours plus mémorable que rien !

    Finalement, la stratégie de celui qui dit ne pas avoir d’ego dans l’espoir de postérité est très fine.
    À nouveau, chapeau l’artiste !

  2. Renato

    Espérons une bonne liste pour dégager celui qui a enlaidi Pornichet et en a fait la banlieue de Saint-Nazaire

  3. Marion

    Merde…

  4. Jacques

    Renato, permettez-moi, en vieux Pornichétin, de ne pas partager votre approche en regardant les nouveaux aménagements réalisés sur 2 mandats comme le front de mer entres autres. Peut-être auriez-vous préféré qu’il fasse de Pornichet une banlieue de la Baule comme le souhaitait M. Belliot ?
    Pierre, au delà de vos allusions à l’âge de M. Pelleteur, moi-même étant un boomer, je vous avoue que votre approche et votre analyse est loin d’être désintéressante quant aux ambitions de certains élus et même élues qui ne sont manifestement là que par ambitions personnelles de pouvoir.
    Est-ce une forme de putsch mondain qui a été proposé à M. Pelleteur sans qu’il en prenne conscience distribuant la loyauté des adjoints actuels à l’image de ceux qu’il croit loyal à son égard ?
    Ceux qui s’affichent déjà avec l’écharpe de Maire et se voient déjà en haut de l’affiche ont-ils mis en place une stratégie plus sûre de prendre le pouvoir sans risquer d’oser se dévoiler en présentant une liste vouée à l’échec ?
    Je vous avoues que les prochaines semaines vont être intéressantes à observer….

  5. Made

    Bravo à vous Renato et Pierre. Pour moi la première question est : à quoi peut ressembler une équipe qui n’a pas de socle ? Des gens qui n’ont rien en commun. Sans convictions réelles. Sans aucun sens fédérateur. Même pas la politesse de reconnaître le citoyen dans ses fonctions de bénévole. Signe premier de reniement des valeurs associatives.

    On perçoit, ici, les premiers signes d’un culte naissant, celui voué à un chef qui se présente déjà hors du commun. Mussolini, Kroutchev, Staline, ou pire encore et de triste mémoire. Nombre de dictatures se sont formées ainsi.
    La glorification du « chef », élevé au rang de « leader charismatique », s’apparente au culte du héros.
    J’ose espérer que les pornichétins sauront éviter le piège.
    Le danger n’est pas tant de tomber dans le panneau, mais d’y souscrire. Car on ne peut dire que ses principes aient fait école, au regard d’une carrière émaillée d’échecs dans le rachat d’entreprises.

  6. Pornichétin

    Malheureusement on ne peut que se contenter de l’offre qui est faite.
    J’ai beaucoup cru en M. Pelleteur au début de son premier mandat, mais désormais à chaque fois qu’il m’est donné de le croiser dans ses interventions publiques notamment liées à son poste de vice-président de la Carene en charge de l’économie, il me fait de la peine. Il a souvent l’air fatigué et parfois à côté de la plaque. Et qui ne le serait pas après une vie professionnelle bien remplie et un engagement public de 12 ans, peut-être criticable, qui ne l’est pas, mais réel.
    Le problème, donc, c’est l’offre.
    La critique est facile mais l’art est difficile !
    Ceux qui se plaignent ne se présentent pas… et c’est sûrement mieux ainsi, on ne règle pas les problèmes, on ne construit pas en se plaignant ou en critiquant.
    Alors qui ?
    Il y a tellement de personnes que je connais à Pornichet et sûrement encore plus que je ne connais pas qui ont toutes les qualités pour apporter tant à notre belle ville !
    Je pense à un brillant Polytechnicien chef d’entreprise à l’expérience et l’expertise absolument impressionnante.
    Je pense à un notaire remarquable, je pense à des dirigeants d’association d’une efficacité et d’une engagement admirables…
    Allez Mesdames et Messieurs les taiseux mais faiseux, lancez-vous !

  7. Herbert

    Le maire actuel n’est-il pas en train de se construire, sur le dos des Pornichétins et de sa liste, une image d’homme providentiel qui manifestement est toute autre ? Mr Jourdain, dans le bourgeois gentilhomme réussit cette prouesse de s’inventer une autre vie. « Je voudrais ressembler à quelqu’un pour être aimé ».
    Verrons-nous sous les traits du prochain, non pas le bourgeois, mais l’ex entrepreneur gentilhomme ?
    Ha ! les dédoublements de personnalité chez les politiques… fréquents mais pas si désintéressés que ça !

  8. Edgard Avous

    Besoin de sang neuf….et si on commençait par le Maire lui même. C’est drôle ce jugement qui concerne les autres mais pas soi même.
    Les articles parus dans la presse locale sont un peu courts, tout du moins, les journalistes ont singulièrement manqué de curiosité pour éclairer le lecteur.
    Au cours de la mandature, 6 élus ont disparus de la circulation dont des jeunes…. ça fait 22% donc si la moité de l’équipe disparaît on passe à presque 75% Alors soit cette équipe en place depuis 2 mandats à mal travaillé soit il y a d’autres considérations qu’il conviendrait de préciser.
    Questions:
    Les départs sont ils volontaires ? dans quelle proportions ?
    Comment sont et par qui sont prévenues les personnes écartées ?
    Qui décide de qui doit rester ou partir ? Le Maire ou une équipe déja constituée ?
    Comment est traité l’aspect humain pour les élus écartés qui peuvent éprouver de la déception, du désarroi ?

    Oui il y a eu du bon travail de fait sur certains points, mais l’arbre ne doit pas cacher la forêt.
    Il y a des quartiers oubliés, négligés. Les Forges, le Moulin d’Argent, St Sébastien et Bonne Source.
    L’ultra bétonnage de St Sébastien est assez scandaleux, oui il faut des logements, oui il y a des besoins sociaux. Mais enfin pourquoi tout concentrer sur ce secteur ? Bien sûr rien sur Ste Marguerite …….pas de gueux chez nous.
    L’axe routier dangereux Becquerels Bonne Source jamais pris en compte.
    Les aménagements des Forges minimalistes.
    Quid de l’ancienne école de Jean Macé qui sera inévitablement densifiée au vu du retard accumulé dans la production de logements sociaux pour loger les jeunes travailleurs.
    Alors oui il faut effectivement du sang neuf avec un regard plus large et de propositions s’éloignant du tout voiture, faisant la part belle (c’est loin d’être le cas) aux circulations douces, et portant une vraie volonté politique et économique vers un environnement plus respecté.
    Il est probablement peut être temps de passer la main en douceur et d’accompagner de nouveaux élus plutôt que de repartir ainsi, ce serait assez classe.

  9. Made

    Le maire est un peu présomptueux quand il déclare ou du moins passe à des aveux pour le moins contradictoires. Dans l’écho de la Presqu’ile, il annonce : « en cas de victoire, une nouvelle gouvernance pour préparer l’avenir. Chaque élu aura un rôle.et travaillera en pôle » Et il se ravise « Les conseillers actuels qui seront réélus aurons des attributions différentes. Ce qui n’était pas le cas durant ce mandat et c’est une erreur de ma part. » Tiens, tiens ! Puis rajoute à propos d’une future (équipe ?) « On connait bien son domaine, mais on ne voit plus les choses. Il faut avoir des yeux nouveaux » (sic) Pourquoi tant le négliger, le mépriser durant 12 ans ? Exigence et lucidité, ne sont-elles pas qualités premières d’un gouvernant ? La question se pose quand à 72 ans on décide de rempiler !
    Là, c’est présomptueux, et ça met mal à l’aise. Il faut d’abord prouver dans la vie qu’on a su se comporter autrement.
    « Le problème avec un costume, c’est qu’il ne faut pas flotter dedans. »

  10. Apostrophes

    Si Mr Pelleteur est devin : réussir à savoir, avant tout le monde, ce que veulent les Pornichétins ? Bravo à lui !

    Il n’entend pas ceux, celles, qui désabusés ou en colère à cause d’un urbanisme hors de contrôle, exacerbé de constructions hors sol (zones à risques), hors raison (SRU), abasourdis d’offres «lacunaires» ou excédés des offres trop peu nombreuses au plan du logement. Des fonctionnements pas toujours clairs. De ces jeux avec l’éthique, des espoirs désenchantés, la liste serait longue…

    Il écoute facilement l’avis de quelques suppôts ou la vénalité d’alliés accrochés à ses basques, répondent, d’intérêt particulier, à des réflexes pavloviens. Tels bookmakers le mettent gagnant d’avance, avec une sacrée marge.

    Le problème est depuis qu’il est aux manettes il ne tient compte de l’avis de quiconque et ne prend ses ordres de personne. Tout est basé sur la faiblesse des éléments élus pour mieux imposer ses idées.

    On n’a rien à envier à la situation ubuesque que vit le pays. Elle se transpose à tous les étages de gouvernance.
    On prend les mêmes et on recommence ! On perd du temps et rien ne bouge. Rien n’avance
    « Ralliez-vous à moi, je vous mènerai à la victoire ! » Le nouveau Napoléon est en route.

    Travailler en équipe sous-entend confiance. Pour ça faut du charisme. C’est ce qui manque précisément.

    Rappel à la mémoire, revenons-en à 2014 où portant le même écho sur Robert Belliot. On sait ce qu’il en est advenu !
    Le lot des supporters qui n’ont pas fini de déchanter.

  11. Christian

    Bonjour
    Comme les ronchons et les revanchards frustrés ce sont bien défoulés, je me permets un commentaire pour tenter d’apporter un peu d’équité dans le droit de paroles…
    Sur les spéculations de Pierre et les scénarios possibles, toutes les théories sont crédibles, et en ces périodes électorales elles sont inévitables (on ne peut rien contre les oiseaux de mauvaises augure). En même temps, un candidat qui ne se projette pas à moyen et long terme n’a pas les compétences pour le rôle et la mission de maire. Concernant le renouvellement à 50% de l’équipe, je trouve que vous jugez un peu vite. Peut-être que tout simplement la moitié des personnes concernées a clairement annoncé qu’elle souhaitait arrêter (usure, envie personnelle, projet familiale et/ou de couple…). Quand aux plus jeunes, entre contraintes professionnelles et projets de familles, j’imagine bien quand 6 ans, ils doivent certainement être amenés à faire des choix. Bien sûr, des frustrés ne manqueront pas de se défouler dans les médias et sur ex Pornichet infos, c’est dans l’ordre des choses et de la nature humaine. Quant aux allusions sur l’âge du capitaine, je dirai qu’il faut mieux être vieux et bien portant, que jeune et malade… malheureusement, je ne le sais que trop.
    Pour ma part, j’apprécie certains traits de caractère de notre maire. Apparemment, il n’a pas l’habitude de tortiller des fesses pour marcher droit. C’est bien grâce à cela que qu’autant de travaux de renouvellement ont été menés dans la ville (voirie, école, services municipaux proposés aux habitants, zone d’activité, voies cyclables..). Bien sur, tout le monde parle du front de mer, mais même moi qui habite entre les Forges et les 4 vents j’ai vu mon quotidien nettement s’améliorer et des travaux être rondement menés. Quant à ses relations avec les assos et les bénévoles, j’apprécie son message de vérité… même s’il n’est pas facile à entendre, cela démontre une vraie honnêteté morale, une grande ténacité face aux obstacles et aux procédures (l’administration ne se cache même pas pour en mettre plein sur le chemin d’une mairie).
    Sur le bétonnage…. Entre les personnes qui veulent plus d’enfant dans les écoles, des jeunes familles près de chez eux, plus de mixité sociale, SANS CONSTRUIRE NI DEMOLIR et ceux qui veulent mettre la ville sous cloche …. On peut dire que les candidats sont condamnés à des discours creux et polissés s’ils veulent séduire les plus bruyants râleurs.
    Tout cela pour dire au final qu’au hasard des conversations sans caractères politiques, on est fière d’entendre parler de Pornichet presque systématiquement pour en dire du bien : « La ville est belle, dynamique, accueillante, avec plein d’associations et de commerces, beaucoup de services aux habitants, je fais tout en vélo, les gosses sont heureux ….., vous avez une ville dynamique, au moins ça bouge chez vous, les projets vites et bien menés, elle est bien gérée …. ».
    Je considère que le maire en place, de par son travail et son implication, a clairement sa part dans l’image positive qui en ressort.
    Heureusement que la majorité silencieuse ne se soucie pas vraiment des commentaires malveillants déposés ici et là…

  12. Ré@gis

    Bonjour Christian, j’ai l’impression que vous avez poussé le bouchon un peu loin. Parler d’honnêteté morale est vraiment fort ! Votre favori ne possède pas un cursus honorum qui servirait de référence. Bien au contraire. Nous avons très bien compris ses manœuvres. Y a un moment chez lui où l’habileté c’est d’en avoir aucune. Les dérives ne sont pas une direction. On ne peut pas rester dans cet état de déliquescence de la démocratie à partir du moment où une personne, jusque dans les services, décide seule du devenir d’un dossier, d’une population, ça ne peut pas marcher. Rien que cet exemple d’une personne vous explique pourquoi on ne se réforme pas. Pourquoi nos conseils sont embolisés ? C’est très gênant cette attitude d’être aussi sûr de soi-même. Que chacun s’occupe ce dont il a la charge au lieu de s’occuper de tout.
    La désorganisation administrative nous coûte très cher. Nous avons besoin d’un exercice de clarté. Il faut fédérer. On revient à des identités solides. Non plus faire des conseils, des comissions, avec des coquilles vides.
    Le danger est : qu’il n’y a personne en face. Donc on continuera à s’asphyxier… Il faut penser différemment et redonner la confiance car la machine ne fonctionne plus. Pourquoi ? Manque de charisme essentiellement !

  13. Herbert

    Le sortant s’y prend un peu tard pour associer les pornichétins à ses projets. Lui qui n’a consulté personne, il voudrait aujourd’hui faire croire qu’il est prêt à participation élargie « Nous avons transformé ensemble…» comme il n’a jamais été. De son équipe, la vacuité en témoigne.
    Décidément, il y a toujours une anguille sous la roche de M. Pelleteur.

  14. constat

    Pierre
    Mr Pelleteur remercie sans égards et remerciements , les plus anciens de son équipe qui l’ont aidés à être élu maire et qui ont participés à l’embellissement de la ville de Pornichet
    Pourtant il se gausse du travail effectué par cette équipe pendant ses deux mandats et il s’en sert
    Peut on faire la comparaison avec les licenciements de ses ouvriers quand il gérait l’entreprise SMCO
    Actuellement Il est en train de faire le sale boulot pour rajeunir l’équipe en vue je suppose de passer le flambeau à son dauphin déjà désigné, quand les ports seront terminés et la plaque posée (vu l’âge du Capitaine)

  15. Placide

    JC Pelleteur rattrapé par son passé ? Il a montré toutes les limites de sa méthode et de sa façon de penser la commune.
    Il n’aime pas sa ville, il l’abime.
    Il faut être une caste oligarchique pour être à ce point déconnecté des réels besoins pornichétins.
    Toujours à contretemps de son époque, à force de surfer sur le travail des autres comme il a toujours fait dans sa carrière. Le dangereux naufrage de ceux et celles qui se prennent pour des politiciens.

  16. Le Crabe du Quai

    Qu’ils sont nombreux, ces stratèges de comptoir qui confondent météo du jour et climat d’une mandature. On disserte sur l’âge, on psychologise à la petite semaine, on prêterait même serment sur des marchés de couloir qu’on ne fréquente qu’en imagination. Pendant ce temps, il faut décider, arbitrer, livrer des chantiers et assumer la complexité autrement qu’en slogans.

    Le renouvellement de 50 % ? C’est ce que font les équipes qui travaillent : elles passent le relais, elles ouvrent, elles mélangent expérience et sang neuf. Le « divers droite » opportuniste ? Traduction : gestion locale, pragmatique, pas de catéchisme. Quant au procès en ego, il amuse : on reproche au maire d’assumer, puis on lui reprocherait l’inverse s’il se taisait.

    Quant aux lecteurs d’entrailles de poulets et Marc de café qui agitent l’épouvantail des dauphins, rappelons une évidence : mieux vaut préparer la transmission que l’improviser. La vraie manipulation ne consiste pas à ménager des options dans l’hypothèse d’une éventuelle succession, elle consiste à faire croire qu’un projet se résume à une comptine d’indignations.

    Pique utile, au passage, pour le dernier message : on reconnaît la musique heurtée des entourages qui prennent personnellement les décisions de renouvellement. Quand on confond indemnité avec mandat et frustration avec diagnostic, on finit par expliquer que le maire est manipulé par sa jeune garde, manière subtile d’avouer qu’on s’est soi-même débranché du collectif. Accuser la jeunesse d’exister, c’est surtout reconnaître qu’on n’avait plus d’élan (si tant est qu’on en ait jamais eu, ce qui reste encore à démontrer).

    Répétons-le calmement : on peut préférer l’ombre du commentaire anonyme et acharné, d’autres choisissent la clarté de l’engagement et de l’action. Les Pornichétins jugeront sur pièces, pas sur soupçons.

  17. Je n’ai pas la prétention de m’exprimer ici au nom de mes collègues cadres et autres agents communaux de Pornichet. Tenue par le devoir de réserve comme tous les fonctionnaires, je crois pouvoir écrire ici sans le rompre et apporter leur témoignage de l’intérieur.
    Depuis 2014, après une période difficile à supporter majoritairement dans les services sous la précédente Municipalité, nous avions retrouvées les valeurs que nous donnons au Service Public et aux échanges nécessaires au quotidien entre les fonctionnaires et les élus. Nous nous sentions soutenus et reconnus dans nos actions, respectés humainement et pour le travail accompli. A quelques rares exceptions, les élus nous accompagnaient au quotidien, savaient donner de leur temps, étaient présents aux réunions, aux commissions, ne cherchaient pas à favoriser ou protéger quelques connaissances personnelles, en un mot s’investissaient.
    Nous n’avons aucun parti pris politique car nous sommes fonctionnaires donc astreints à la neutralité. Nos sensibilités sont bien évidemment variées mais nous étions fiers en 2020 d’avoir contribué par notre travail et notre investissement au bilan de l’action de ces élus qui à permis au Maire de se faire réélire avec l’arrivée de nouveaux élus.
    Depuis 2020, le départ surprenant du Directeur Général qui avait su nous fédérer, son premier remplacement éphémère, l’attente de son deuxième remplacement ont établi des absences de Direction.
    Le Maire après 6 ans de mandat et certains nouvellement élus, peut-être méconnaissaient-ils ou pas, le fonctionnement d’une collectivité. C’est pourtant le B.A.-BA de ce que nous savons comme fonctionnaires.
    Il distingue le rôle des élus à fixer des orientations et à la Direction de diriger l’Administration.
    Ils se sont cependant substituer pendant ces périodes à la Direction sans assurer la moindre coordination entre les services en mettant certains d’entre eux en difficultés.
    Nous les fonctionnaires, même si nous sommes transparents aux yeux de certains élus, nous sommes tous les jours en Mairie. Nous voyons, nous observons, nous entendons même accidentellement des propos ou des conversations et nous échangeons entre nous.
    Depuis quelques mois, nous entendons certains élus de 2020 en critiquer d’autres, critiquer et même attaquer certains cadres alors même que les services concernés ne sont pas dans leur délégations.
    Quand un Maire et des élus sont capables d’agir ainsi, de se débarrasser de certains élus historiques sans raison objective à nos yeux, cela nous inquiète pour l’avenir plus qu’incertain de certains d’entre nous dans la collectivité surtout quand on entend certains élus dire d’eux et de la capacité de ceux qui seront encore là à motiver les agents.
    Mais peut-être serons-nous considérer par mépris comme d’éventuels dégâts collatéraux comme dans la municipalité précédente au Maire actuel, la fin justifiant les moyens…

  18. Vieux Pornichétin

    Fonctionnaire vous avez raison de vous inquiéter
    On peut s’interroger sur la vrai personnalité de certains élus à commencer par Mr PELLETEUR.
    S’adresser au personnel municipal avec des sanglots dans la voix, quand ce n’est pas des larmes, et dans le même temps être capable de virer des adjoints qui ont été loyaux et ont fait le boulot depuis 2014 en 2 minutes chrono (témoignage).
    Ce n’est pas le fait de vouloir changer d’équipe qui est contestable même si elle interroge, c’est la méthode utilisée qui est digne de ce qu’il y a de pire chez de mauvais chefs d’entreprises.

  19. Made

    Le problème que le crabe ne révèle pas, et s’en garde bien, c’est que JC Pelleteur ne fédère pas. Bien on contraire il divise au sein même de son équipe prévenue d’évictions sans explications. Après avoir enfermer son équipe dans une cécité telle qu’eux même ne savent plus en sortir de volonté même.
    Equipe où au milieu des aveugles le borgne est roi ! Et mieux, n’hésite pas à trahir ceux qui l’ont fait prince.
    C’est ça en fait l’effet pernicieux de ses expériences, ratées, de chef d’entreprise. Cela inquiète et augure d’un triste final.
    En préservant des éléments à des postes stratégiques : finances, urbanisme, évènementiel, il garde la main sur une équipe renouvelée à 85% et leurre les pornichétins sur ses projets et convictions réelles.
    Nos élus oublient que leur mission est de servir et non de se servir…
    Non ce n’est pas l’âge du capitaine qui dérange, ce sont ses capacités à être ouvert sur les besoins réels et innovants dans ses actions. Il n’est plus l’homme de la situation. C’est ça quand la magie envers d’autres humains n’opère plus à bon escient.
    Oui, sans le bulltin de vote, on serait catalogué de stratèges de comptoir.

  20. Martin Pécheur

    Mais dites-nous qui sont ces « élus historiques » irremplaçables, engagés et compétents, cher fonctionnaire anonyme… à moins que vous ne soyez un•e de ces élu•e•s éconduit•e•s, visiblement très actifs dans les commentaires depuis que leur petite rente est remise en cause ?
    On cherche, mais on a du mal à trouver.
    Le directeur général n’étant absolument pas parti en 2020, et de façon absolument pas surprenante puisque la vocation des administrateurs territoriaux est la mobilité, on a du mal à croire à l’authenticité de votre fausse identité.

    1. Martin Pécheur, désolée mais étant attentive à l’orthographe des mots, en n’écrivant pas pêcheur comme l’oiseau, vous m’accuseriez donc d’avoir commis un péché en m’exprimant ?
      Peut-être l’ignorez-vous, au cours d’une journée en Mairie, nous avons des moments d’échange où nous parlons d’autre chose que travail. Ce lundi en a été l’occasion surtout que certaines et certains rentraient de congés et s’étaient déconnectés. Certains avaient lu mon intervention et en partageaient le fond, d’autres pas encore. D’autres avaient même lu votre réponse et je vous avoue que cela ne les a pas rassuré. Par prudence et non par lâcheté comme vous semblez le penser, sait-on jamais ce qu’il pourrait m’arriver si j’étais découverte, je ne leur ai pas dit que j’en étais l’auteur. Et quand je lis « on cherche, mais on a du mal à trouver », je me dis que j’ai bien fait de rester une fonctionnaire anonyme pour me protéger. Et oui, ne vous en déplaise, je travaille bien à la Mairie et mon nom n’est pas Martin. Je vous laisse donc à vos délires paranoïaques à chercher à en identifier d’autres et aux arguments que vous avancez à leurs propos, eux avec qui nous avons travailler pendant 12 ans dans les conditions que j’ai déjà dites et qui manifestement ne vous plaisent pas.
      Des collègues ont remarqué, ce que je n’avais pas analysé, que vous utilisez un « on » collectif et non le « je ». Vous devez donc certainement être un élu vous exprimant au nom du groupe d’élus majoritairement arrivés en 2020 qui a réussi l’exploit, avec la complicité du Maire que nous respections, à recréer un climat délétère et malsain à la Mairie que nous n’avions connu qu’avant 2014.
      Même si là vous pourriez considérer que je sors de mes devoirs de réserve et de neutralité, je me demande si votre capacité à lire ne se limite pas à ânonner les mots sans les comprendre.
      Vous ne connaissez pas la définition du mot « historique » ou votre colère vous empêche de le comprendre ?
      Pour votre information, l’historique c’est faire référence à l’histoire. Ce que je voulais dire, tous mes collègues eux l’ont compris, c’est que je faisais référence à ceux qui ont accompagné le Maire lors de sa première élection et qui lui ont permis d’être réélu en 2020 sur leur bilan. Il me semblait pourtant avoir été suffisamment claire dans mon propos.
      Vous écrivez, « Le directeur général n’étant absolument pas parti en 2020 ». Relisez attentivement. J’avais pas plutôt écrit « Depuis 2020 » faisant référence à une période et non une date ? Vous avez raison au moins sur ce point, il n’est pas parti en 2020. Par contre, vous vous trompez sur le reste et les raisons de son départ surprenant. A l’issue du premier mandat, par loyauté envers lui, il avait annoncé au Maire que vu les projets, les relations de confiance qu’il avait avec lui et les élus, l’appui des fonctionnaires qu’il avait su fédérer, il accompagnerait le Maire jusqu’à la fin du second mandat et qu’ensuite il privilégierait son déroulement de carrière. Il s’en était confié auprès de fonctionnaires qui s’en inquiétaient à ce moment là à différentes occasions. Savez-vous que l’attitude du Maire à son égard a changé peu de temps après les élections ? Il ne lui faisait plus confiance, considérait que contrairement au premier mandat dès qu’il ne partageait pas l’avis du Maire ce dernier le rabrouait. Savez-vous, vous le savez peut-être, que sa vision des relations avec les élus ne plaisaient subitement plus au Maire et qu’il croyait que son importance serait trop grande ?
      Voilà les raisons profondes de son départ prématuré dès qu’il ne se voyait plus faire un mandat ainsi.
      Un dernier conseil respectueux, n’oubliez jamais que, même si nous sommes transparents et tout juste utiles à vos yeux, nous voyons, nous observons, nous entendons et nous échangeons. Même parfois nous réfléchissons.
      Mes collègues et moi nous nous attendons à une réponse de votre part rappelant que les élus sont nos patrons et que si cela ne nous convient pas on peut muter.
      Si c’était votre réponse, cela nous prouverait à nouveau le mépris que le Maire aujourd’hui par votre voix et vous certains élus avez à notre égard.
      Saint Scrutin, priez pour nous et protégez nous tous pour le prochain mandat, nous ces pécheurs de fonctionnaires qui ne s’appellent pas tous Martin.

  21. Michèle Adam

    « On peut préférer l’ombre du commentaire anonyme et acharné… » Vous parlez de vous cher » Crabe du quai. »
    Moi je signe de mon nom.
    Ne seriez-vous pas , noble Crabe du quai, le chef du panier de crabes qui un soir d’il y a 12 ans, est allé avec ses potes l’enfarineur et le Tartuffe , réveiller un tourteau endormi sur un tas de béton que vous avez ressuscité en lui faisant croire qu’il deviendrait le crabe aux pinces d’or ? Ainsi qu’il me l’a révélé un jour: « On m’a proposé le fauteuil, je l’ai pris . Il s’est installé sur un trône de glace dominant ainsi un plateau de » fruits de Maire » , supporté par des étrilles excitées, tantôt vertes tantôt roses selon la cuisson des sondages. Ainsi il  » a régné » 12 ans. Validé par la majorité des Pornichétin(e)s
    Encouragé par quelques bourgeoises langoustines aux maris influents, flatté par de « Faux » adversaires qui simulent une humiliation de ses mots pour faire croire au peuple qu’il existe une opposition. » La fuite de Schouvert. »… Des petites crevettes ont déjà sauté de l’épuisette en continuant de percevoir leur pathétiques indemnités de figurant(e)s obéissant(e)s. Si le sondages continuent de placer en premier le RN aux présidentielles, cela ne le fera pas rougir.
    Ses pinces , selon les commentaires précèdents , n’épargnent ni les fonctionnaires municipaux, ni les bénévoles associatifs.
    Pourquoi les candidats de « l’opposition? » ne se sont-ils pas déclarés? Ils espèrent peut-être faire parti du renouveau majoritaire de 50% . Quel courage.

  22. Pollux

    Parce qu’il reste, l’adjoint à l’événementiel ? Joyeuse sinécure ! Si lui reste, je comprends mieux les adjoints qui chouinent. Quoiqu’ils en font pas beaucoup plus, mais du coup pourquoi faire une différence, autant rester dans l’entre-soi de ce marigot de paresseux et de fayots. Y’a que l’adjoint au béton qu’on voit partout, même si c’est pas le plus sympa de la bande. On se demande bien pourquoi, ha ha, c’est peut-être lui qui fait le vide pour éviter la concurrence le prochain coup ? Numerobis bricole bien son échafaudage dans l’indifférence générale de ses collègues, qui pensaient sans doute garder la gâche en regardant ailleurs, c’est raté. Je me demande bien ce qu’en pense son homologue des finances, parti monter une liste concurrente avec les soutiens déçus de 2014 et la bienveillance des stratèges de bistrot de la place du marché, on vous entend quand vous parlez, il sera peut-être suivi des évincés mais personne n’en veut de ceux-là alors il devrait aussi bien les éviter. On parle aussi assez peu des élus qui ont disparu ou démissionné en cours de mandat, ce n’est pas parce qu’on ne les voit pas qu’ils n’y pensent pas, et certains d’eux fréquentent toujours les petits cercles de leurs partis politiques qui plaçaient en eux de grandes espérances, on se demande bien pourquoi. C’est qui l’enfarineur et le Tartuffe, les compagnons de Bécassine et Madame Sapin de Noel ? A les écouter radoter, c’est toujours grâce à eux que le maire est devenu maire, et ensuite il est devenu maire mais ne les écoutait plus, peut-être parce qu’ils radotaient ou peut-être parce que c’est complètement faux ce qu’ils racontent, allez savoir, ils sont si sûrs de leur fait, déjà qu’ils sont deux à prétendre être la plume du maire, un ancien pompier ventru qui a mauvaise presse même si personne le connaît et un politicien d’avant-guerre qui n’en a pas de meilleure alors qu’il est en campagne permanente. On s’y perd avec tous ces retraités devenus conseillers autoproclamés qui n’en sont pas et tous ces adjoints qui se prétendent indispensables mais éconduits et qui ne servent à rien, toutes ces courtisanes cupides qui ne parlent qu’entre elles et n’en seront plus et aussi tous ces commentaires beaucoup trop longs comme celui-ci que vous avez pourtant lu jusqu’au bout sans comprendre grand-chose parce que vous n’avez visiblement que ça à faire, mais quand même, arrêtez donc de pleurnicher sur celles et ceux qui profitent du système depuis 12 ans sans rien foutre et qui viennent chialer quand on leur annonce la fin de la récré et du SMIC mensuel qui va avec, ça leur fait 144 000 euros perçus sans rien glander donc de mon côté on va pas chialer. FIN DES EMPLOIS FICTIFS

    1. Pollux, à lire votre diatribe et à essayer de tout comprendre, je vous avoue que je peine encore.
      Entre les pseudo-informations que vous avancez qui ne sont pour la plupart que fausses ou invraisemblables, je vous avoue que j’ai du mal à en identifier l’intérêt au fond.
      Quand, entre autres, vous écrivez que celui que vous nommez Numérobis bricole sa liste, que son homologue des finances part monter une liste concurrente avec le soutien des déçus de 2014, dans quel monde irrationnel êtes-vous ?
      Peut-être êtes-vous tout simplement dans le monde de ceux plein de rancœurs qui ont été élus et amenés à démissionner au cours des 2 mandats pour des raisons ou des comportements qu’il ne vaut mieux pas étaler ici quand on les connait.
      En revanche, je constate que, bien caché derrière un pseudo, vous vous permettez d’utiliser un langage peu respectueux des autres, méprisant, insultant même ne seraient-ce que par les surnoms que vous donnez à certaines personnes. Sachez que l’intérêt de donner des surnoms et de les communiquer relève simplement de la recherche de points communs. Ayez le courage de dire qui est Bécassine réputée pour sa niaiserie, Madame Sapin de Noêl, simple décoration et potiche de service. Que de respect pour la Femme vous affichez…
      Mais que dire de votre bassesse quand vous vous attaquez au physique des personnes.
      Cet ancien pompier ventru qui a mauvaise presse même si personne le connaît, figurez-vous que je le connais car je le vois tous les matins dans la glace en me rasant. Avouez déjà qu’avoir mauvaise presse quand personne ne nous connaît, c’est assez contradictoire. Mais vous n’êtes pas à une contradiction près. Merci de ne pas faire référence également à mon nez un peu développé qui me permet de bien sentir les choses malgré son inesthétisme… Enfin, chercher à nuire ou à dénigrer une personne pour son physique rappelle de sombres périodes de l’Histoire.
      Alors, oui, je suis ventru et pour le devenir je n’ai ni volé, ni spolié et encore moins profité de quiconque pour m’engraisser. Par contre, mon ventre est peut-être trop plein en apparence sur ma silhouette mais je préfère, comme on dit en avoir dans le ventre, pour vous répondre sans me cacher derrière un pseudo. Enfin, pour tout vous dire, Je n’ai pas honte de mon ventre car, selon mon médecin qui me confirme par ailleurs que je dispose de tous les attributs masculins, il est sain et n’est pas rempli d’humeurs nauséabondes comme d’autres ventres rebondis qui n’ont même pas la reconnaissance du ventre…
      Qu’avez-vous contre les retraités ? Ils deviendraient tous séniles ? Ils deviendraient tous mythomanes et radoteraient selon vous ? Le Maire certainement aussi selon vous alors !
      Oui, j’affirme et j’assume avoir été la plume pour le moins du Maire à certaines occasions pour lui préparer, comme un autre d’ailleurs, des notes, des discours certes mal prononcés souvent je vous l’accorde, des argumentaires, des courriers…Je les ai conservés… D’ailleurs, le Maire, s’il retrouvait une mémoire non sélective pour ne pas dire plus, vous le confirmerait.
      A votre avis et entre autres, qui lui a soufflé dès avant 2020 les arguments pour sauver le Centre de Secours, lui a préparé les courriers, les discours même, a interpellé les élus départementaux du Conseil d’Administration du SDIS, exploité les statistiques opérationnelles pour démontrer que le Centre de Secours devait être maintenu à l’année, être considéré comme un CIS à part entière pour aboutir enfin à la nomination d’un Chef de Centre ? Je vous laisse le deviner même si auprès des pompiers un élu devenu Conseiller Départemental et une élue, ancien sapeur-pompier volontaire, se sont attribué ce succès sans que ceux-ci ne soient dupes.
      J’ai omis de préciser, pour celles et ceux qui éventuellement liraient ce courrier, je suis le compagnon, de la 1ère adjointe du Maire depuis 2014. A l’époque d’ailleurs, il se répandait partout qu’en étant venu chercher ma compagne, il en avait eu 2 pour le prix d’un…Cela devrait permettre de mieux comprendre le traitement de faveur que Pollux, et d’autres sous couvert d’anonymat, me réservent ici…
      Enfin, pour terminer et ne pas être trop long au risque que vous ne me lisiez pas jusqu’au bout car vous n’avez peut-être pas que cela à faire, VOUS, vous dites qu’il faut mettre fin aux emplois fictifs de celles et ceux qui ont touché pendant 12 ans un SMIC sans rien foutre pour reprendre vos propos.
      Dois-je vous rappeler que la notion d’emploi fictif constitue un délit pénal puni par le juge ?
      Permettez- moi de vous rappeler également qu’un emploi fictif c’est la situation d’un salarié en CDI, en CDD ou sous contrat d’action qui bénéficie d’un salaire sans contrepartie réelle.
      Or, dois-je vous le rappeler comme à d’autres d’ailleurs, peut-être vous l’apprendre, les élus ne sont pas salariés.
      Ils occupent une fonction élective pour laquelle ils perçoivent une indemnité et non un salaire. Ils peuvent même les cumuler comme le Maire le fait à la CARENE comme Vice-Président, un Conseiller Départemental élu dans une commune sans pour cela n’avoir à justifier de la réalité de leur engagement, de leur participation aux différentes réunions ou commissions. Leur montant est public. Je vous invite à en rechercher les montants et vous constaterez qu’il s’agit mensuellement de plusieurs SMIC pour eux.
      J’espère que ces dernières explications vous permettront de prendre conscience que dire d’élus qui ont œuvré au bilan du Maire, sans avoir d’ailleurs à justifier de leur participation qui malgré tout a été réelle quoique certains dont vous en disent, cela ressemble fortement à des propos diffamatoires.
      Désolé d’avoir été long et d’avoir mis à nu votre manque de crédibilité.

  23. observateur

    Très juste Pollux, votre commentaire assez acide!!!, surtout sur le montant des salaires perçus sur les adjoints qui ne font rien. Qu’en est-il pour VOTRE Maire avez-vous fait le compte sans oublier la CARENE!!!!

  24. epuisette

    Epuisette
    Pollux, vous qui savez tout, pouvez vous nous donner le nom du poulain désigné
    Est ce celui qui suit le maire comme son ombre pour se faire connaitre, ou celui qui tire les ficelles avec son écharpe
    C’est vraiment un panier de crabes sur le quai de départ

  25. Martin Pécheur

    Il aura suffit d’un jeu de mots pas bien méchant pour déclencher tout ça !
    Soupçon de nom de famille, de statut d’élu, de génération, de posture, de porte-parolat, de mépris, etc. Le tout avec une condescendance non dissimulée et même une capacité à prédire l’avenir, les réponses, les opinions et le menu de la cantine.
    On aimerait aussi en savoir plus sur ce climat délétère que vous dénoncez, n’hésitez pas à nous donner les noms de vos odieux tortionnaires et de partager des faits avérés, les élections approchent et le peuple a le droit de savoir.
    Vous êtes en tout cas bien occupée à déblatérer sur votre patron avec vos collègues, dont les fines capacités d’analyse n’auront échappé à personne. Si c’est ça que vous appelez réfléchir, vous seriez bien aimable de mettre un terme à votre pause café et de retourner bosser car il y a sans doute des dossiers en souffrance qui n’attendent que votre intelligence et votre énergie pour avancer !
    N’étant ni élu ni fonctionnaire mais citoyen et contribuable, j’aimerais autant que mes impôts servent à quelque chose. J’approuve assez la dernière phrase de Pollux et elle ne s’applique pas qu’aux élus fantoches qui se remplissent les poches et qu’on ne regrettera pas.

    1. Martin Pécheur, désolée de ne pas être suffisamment intelligente pour avoir saisi l’humour de votre réponse.
      Vous ne seriez donc qu’un simple citoyen et contribuable. Au moins sur ce point nous sommes à égalité.
      Vous devez suivre quand même de très près, même de très près, la vie interne de la Mairie pour relever que notre ancien DGS n’est pas parti en 2020.
      Comme maintenant vous ne doutez plus de mon statut, je vais donc vous croire.
      Cela semble vous gêné que nous ayons la liberté ou la capacité de penser.
      Notre sens du Service Public ne nous autorise pas à faire des pause-café trop longues, comme dans toute entreprise. Rassurez-vous, nous travaillons et d’ailleurs si ce n’était pas le cas, les espaces verts ne seraient pas entretenus, vos enfants ne mangeraient pas à la cantine et nos collègues ATSEM ne les accompagneraient pas et tous les travaux et tous les dossiers n’auraient pas avancer.
      Vous ne seriez donc pas cet Adjoint qui au dernier CM (Conseil Municipal au cas où) s’est fendu, sans conviction, à saluer nos compétences et nos actions. Vous n’êtes donc pas celui que certains entendent par contre porter des jugements inquiétants pour leur avenir sur certains d’entre nous.
      Nous vous croyons même si votre ton condescendant, votre mépris pour nous s’étale dans vos propos.
      Je ne me permettrais pas, comme vous, de jugement sur des élus fantoches qui se rempliraient les poches et d’autres pas. Par contre, comme vous ne seriez pas élu ou fonctionnaire, vous l’ignorez peut-être, il n’y a pas d’emplois fictifs chez les fonctionnaires. Il y a un Tableau des effectifs validé par le CM.
      Je ne pensais pas que mes messages où je ne disais que nos inquiétudes et des faits qui vous déplaise tant amèneraient une telle réaction de votre part, qui que vous soyez réellement. Je n’ai hélas aucune capacité à prédire l’avenir contrairement à ce que vous dites. J’espère simplement que notre avenir sera serein et que le résultat des élections nous permettra de lever toutes nos inquiétudes et mettra fin à ce climat qui règne et que vous contestez.

  26. Cui Bono

    Entre intox, egos (et portefeuilles) froissés et avatars courageux, on s’y perd et on ne comprend plus rien. On peut savoir à qui profite tout ce cirque ?

  27. Delvigne

    tout commentaire ecrit sous pseudo ou anonymise est non fonde, surtout quand il est insultant et que la source de « l’information » n’est pas verifiable.

  28. Placide

    Il n’a qu’une envie, celle de toucher aux ports ! Obnubilé, il fonce, fonce, fonce à toute allure. Ne maitrise plus son erre. L’âge du capitaine, le bateau, se fait de plus en plus lourdaud. Jette par-dessus bord, moussaillons, potiches et pantins, bref tout ce qui lui portait la soupe. Le mess, la cantine aussi virée, batteries de casseroles récurées à la hâte.
    Le père Lagloire fonce, fonce, tête baissée. Dans les remous de son sillage, a jeté une remorque à trois ou quatre sous-fifres, gringalets ambitieux en passe de se noyer à des postes ronflants. Croyants au « ralliez mon étendard », quitte à ne servir à cirer les pompes funestes du commandant. Sauve qui peut d’un bateau ivre des actes manqués d’antan.

    Qu’importe, à l’approche du quai, il fonce, avide et téméraire, pressé de remettre le couvert. Sûr d’un fan club émietté occultant que son allure n’a plus de sens ; qu’il va se jeter sur les enrochements, et encore une fois louper l’entrée. Si ce n’est la sortie ? Celle qui l’a mené à maints échecs par le passé. Malgré les fastes, celui de trop !
    Énième numéro de marionnettiste.
    Qui peut croire, encore, en une métamorphose ?

  29. Bulot 62

    ça vole très bas!
    C’est lamentable!
    Quelle haine, sans formuler une proposition concrète, juste pour détruire!.

  30. Observateur

    Placide, votre commentaire est vraiment excellent. Drôle et bien vu concernant le projet du port qui n’interesse que peu de Pornichétins mais qui va quand même coûter 40 millions avec la ville comme garant. Je vous laisse méditer chers Pornichétines et Pornichétins!!

    1. Jeanneau Merry Fisher

      Donc vous n’avez toujours pas compris que ce n’est pas la ville qui finance le port mais une SEM qui a levé une dette sur les 40 années de concession ? Y’a visiblement pas que PCV qui ne comprend rien à rien. Conquête Jarstic et et Flavié Raxeur n’ont qu’à bien se tenir !

  31. Tim

    Donc JC Pelleteur est candidat et renouvelle sa liste d’un bon 50%, c’est formidable et tout le monde applaudit même si ça fait des mécontents (parce que ça les prive de vanité et d’argent). Mais sinon, fiers observateurs et brillants analystes que vous êtes, il vous a échappé qu’il y a une liste qui se présente en face ? On pourrait peut-être en parler.

  32. Renato

    TIM Une liste qui se présente en face ? Quelle liste ? une liste de gauche ou de droite ?

    1. Tim

      Une liste de gauche, c’était dans la presse il y a plusieurs semaines !
      Vous annoncez des candidats qui n’en sont pas (ou pas encore…) et vous oubliez ceux qui le sont déjà !

      1. Renato

        Moi je n’annonce rien. Une liste de gauche ? sans doute la pseudo opposition actuelle au conseil. Ces gens ne sont plus de gauche.

  33. Apostrophes

    Pornichet a quand même le droit de choisir son futur maire ? Ce serait faire offense à la démocratie.
    Ce n’est pas à l’actuel de décider lequel lui succédera en cours de mandat. Ce serait tromperie d’intentions. Non ? à quel double jeu se prêtent les larrons désignés ? Le sortant installe une crise sans précédent où ruses et manigances font feu de tout bois. Qui peut dire droit dans les yeux qu’il a agit avec la loyauté que tout édile se doit ?
    Sincère soutien aux évincés.es. Si j’en étais des restants , se poserait la grande question de l’appui, de l’aide, à ces détournements, anti respectueux de la condition humaine. Où est l’honnêteté morale ?
    Puisse cette approche être envisagée dans la sérénité.
    Chers élus.es. à défaut de solidarité, ayez au moins la cohérence, si ce n’est par respect pour les citoyens, ne serait-ce que par respect pour vous-même. Assez de ce double jeu ! Il en va de votre honneur.

  34. Apostrophes

    Le commentaire de Jean-Philippe interroge : tant d’années passées à faire l’autruche. L’aplaventrisme de cette équipe est stupéfiant, aucun sens du débat. Rien ! Que le culte du chef.
    Aujourd’hui, dupés, frustrés, froissés, dans une colère froide voudraient exprimer, à retardement, les regrets de s’être fait avoir. S’ils avaient révisé les turpitudes d’un parcours peu reluisant ils n’en seraient pas à se morfondre sur le sort qui leur est voué.
    Relevez la tête, car c’était la même gestion humaine au temps de son prédécesseur. Le moi d’abord !
    Sincèrement, je les invite, à défaut de solitude, à un instant particulier de solidarité envers leur patron au prochain conseil ?
    De même pour les municipaux dont certains, et pour cause, ont dû s’exiler en des lieux où les tâches sont plus valorisantes, d’autres en partance sur des postes où le sens humain est reconnu.
    Savoir tirer les leçons de ce naufrage.
    Aborder cette épreuve avec franchise et lucidité.
    La priorité n’est pas de se choisir un candidat. Mais de préparer un projet politique crédible avec des gens d’orientations différentes, à même de travailler ensemble et dégager, sinon un consensus, un compromis, apte à rassurer une majorité de Pornichétins. C’est le seul moyen de laisser entrevoir une ligne d’horizon convenant au plus grand nombre, définie et réaliste.
    Le sujet, c’est quelle société voulons-nous, pour embarquer Pornichet, dans un moment compliqué au niveau général, et tendu sur un plan municipal.
    Admettre que l’intransigeance n’a plus sa place et qu’elle a conduit à l’échec.

  35. julien

    J’avoue, plus je lis les commentaires, moins j’y trouve du fond.
    La plupart des critiques s’attaquent à la forme sans pour autant les argumenter de façon factuelle et non opposable. Certains trouvent le maire autoritaire mais ce sont très certainement les même qui qui se permette de solliciter « son arbitrage » en « leur faveur de préférence ». Quand ils sentent que tel ou telle élu(e) ne donnera pas d’avis favorable… il devient incompétent. Si le maire confirme la position, il est jugé autoritaire et devient celui qui décide de tout, et tout seul…. Mon dieu quelle indignité (ironie).

    Mais ces personnes qui, je le rappelle critiquent la forme plus que le fond, sont sourds et aveugles.
    Ils sont sourds aux commentaires des habitants autres communes qui montrent Pornichet en exemple. Bien que la ville soit confrontée aux même obstacles (vieillissement de sa population, la cherté de du foncier et de l’immobilier, des promoteurs immobiliers sans morale, une mixité sociale et générationnelle en danger, des infrastructures à entretenir …et j’en oublie), elle est saluée pour le dynamisme du maire. Par exemple :
    – Ouest France d’aujourd’hui : https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/la-baule-44500/taxe-eolienne-declaration-damour-brocante-la-collecte-des-bonnes-nouvelles-dans-la-presquile-de-guerande-093839b8-b99e-11f0-a456-5b350733c580
    – Ouest France : Une candidate face F. LOUVRIER « A l’instar de Pornichet qui vit toute l’année »
    https://actu.fr/pays-de-la-loire/la-baule-escoublac_44055/municipales-2026-a-la-baule-laetitia-english-la-rivale-de-droite-de-franck-louvrier-en-campagne_63350859.html
    – Et je ne parle pas de ce qu’on nous dit qu’en je suis chez des amis au Pouliguen ou à Guérande….

    Si certains mécontents (pour être poli) ne voient que de l’impatience, de l’acharnement, de l’égo, de la brutalité, … etc. Moi, j’y vois plutôt de l’exigence, de la ténacité (merci Christian), de l’amour pour sa ville, de la combativité, et la recherche permanente de l’intérêt général.
    Il faut bien être exigeant pour avoir réussi à faire en 10 ans ce que plusieurs villes voisines vont mener – peut-être- en 20 ans.
    Il faut de la ténacité, de la conviction et de la combativité pour faire face à toutes les structures administratives et aux lobbyistes associatifs. Les 1ères, par toutes les règles et procédures, réduisent fortement l’autorité d’un maire. Les 2sds cherchent souvent à mettre la ville et le reste des habitants sous cloche.
    Le souci de l’intérêt général, c’est qu’il s’agit certainement de la qualité la plus ingrate et la plus difficile à défendre. Par définition, elle conduit presque toujours à ne pas satisfaire une partie des gens qui finissent comme certains sur ce blog par se défouler et évacuer leur frustration sans discernement, sans mesures et sans réelle objectivité.
    Coté égo, si je prends les maires des 2 villes voisines comme référence de mesure…. Je n’ai aucun mal à dire que JC PELLETEUR boxe en catégorie amateur…. A l’ouest, le maire est quasiment sur toute les photos du magazine municipale…… qui dit mieux ?
    Coté ports et le projet dont certains parlent : ATTENTION. Ce port a près de 50 ans. Veuillez avoir le courage un instant de raisonner par l’absurde. Pas de projet port maintenant =
    – Pas d’investissements lourds et importants à court terme
    – Donc un vieillissement plus rapide de équipements existants (ponton, toute les digues, les réseaux d’eaux, d’électricité, des bâtiments particulièrement énergivores…)
    – A chaque fois qu’il faudra réparer ou remplacer quelque chose, ce sera particulièrement cher (en millions d’euros) et cela avec les finances de la ville (pas de concession = budget de la commune = argent du contribuable)

    Coté équipe municipale, je ne ferai pas de commentaire mais je poserai la question suivante : Avant de donner votre jugement, avez-vous pris le temps de connaître toutes les versions pour vous faire un réel et objectif avis… ?

    Bien à vous,

  36. Jacques

    Julien, qui peut nier qu’en 10 ans, le Maire a fait de Pornichet une ville dynamique que nos voisins, je vous le confirme, jalousent.
    Mais qui peut nier objectivèrent, sans tomber dans une idolaterie aveugle, que c’est le résultat de l’investissement d’une équipe qui depuis 2014 à œuvré pour atteindre ce bilan.
    Je vous laisse méditer.
    Bien à vous

  37. Help!

    Les évictions font des remous dans la majorité. Tout le monde n’est pas d’accord avec cette vision, Jacques.
    Comme toujours le maire est sans partage sur ses réalisations. Il nous laisse la commune dans une situation économique absolument embolisée. Avoir la lâcheté d’éjecter celles et ceux qui ont contribué à cet embellissement indéniable est indigne de reconnaissance.
    Sans elles, sans eux, il ne serait rien. Eux, elles, existent à travers lui, par procuration.
    Le double jeu est manifeste. Les électeurs jugeront. À eux de lui rendre la monnaie…
    On a aussi le droit d’être choqué de ses volte-face à répétition, de ses changements de pied permanents, de ses sautes d’humeur intempestives. Une fois élu il se fout de son électorat à l’exception de quelques faveurs amicales.

  38. Francky

    Vive le foot,
    Jacques sur le fond personne ne peut vous contredire. Cependant, je fait le parallèle avec mon équipe de foot favorite. Cela fait quelques saisons que l’entraineur est là, mais l’équipe change et évoluent à chaque mercato. Ceux qui ont le mieux assimilé la méthode, le plan de jeux et ses objectifs restent. Ceux qui font preuve de bonne volonté et démontre une capacité à évoluer ont encore leur chance. Par contre, ceux qui la jouent personnel ou qui au contraire manquent de respect au staff ou au reste de l’équipe…. ne doivent pas être surpris que le coach les écarte du onze titulaire entre 2 saisons..
    Bien sûr, une comparaison reste une comparaison. Elle ne vaut que par la connaissance exhaustive que l’on a des joueurs en présence et par une bonne compréhension du projet du coach.
    Du coté de Pornichet, le « coach » et plutôt…. très bon au regard du palmares et des réalisations.

    Allez les Chtis, continuez ….

  39. Placide

    Francky c’est un peu léger comme vision. On ne peut pas dire qu’il fait tourner son équipe ? Il n’y a pas pléthore sur le banc. L’avantage c’est que plus son effectif est médiocre moins il a de gène pour le mener à sa guise. Pas de rebelle.
    Son projet de jeu est obsolète voire inexistant. Son talent suprême consiste non pas à ne jamais dévoiler ses cartes, mais à n’en avoir aucune toute prête. Il les colorie à mesure, selon le jeu dont les autres disposent, selon les fluctuations de la partie. Ce qui le rend continûment insaisissable.
    Quand un manager a plus de bévues que de trophée à son palmarès il faut penser à en changer.
    Ses adversaires disent « on ne sait jamais qui, de l’anguille ou de la couleuvre, on va croiser. » Quant à ses anciens partenaires, il y a belle lurette qu’ils désertent le vestiaire. Écœurés, ils ont compris…

  40. Made

    Mr Delvigne, avant les gens avaient la possibilité de panacher les listes : ils pouvaient rayer des noms, en ajouter, raturer, faire des commentaires sur tel ou untel. Pour moi, c’était l’expression directe de la démocratie.
    Aujourd’hui on voudrait bâillonner tel ou untel qui s’exprime par ces commentaires. Beaucoup se protègent par craintes de représailles (eh oui ! y a encore des élus qui mettent la pression). Ça existait aussi au temps de votre favori. Du temps où vous signiez sous pseudo Lefox. Alors vos leçons appliquez les d’abord à vous-même.
    Disons le clairement, quelqu’un qui à la prétention de gérer une commune, qui n’est pas capable de rassembler autour de lui une équipe digne de ce nom, et surtout garder un esprit de proximité qui ne se perd pas une fois les élections passées. C’est très rare de nos jours. C’est quelqu’un qui ne fait pas consensus. Je vous l’accorde on a pas gagné au change depuis 2008. Je crois même que c’est pire, et que ça ira en s’amplifiant. A moins que les électeurs ouvrent les yeux et ne restent accrochés à leurs vielles lunes. Loin le jour où une majorité de gens se reconnaitront au travers des actions d’un maire qui bosse pour sa commune et non pour sa gloriole.

  41. Pollux

    Il paraît qu’elles complotent, nos commerçantes, tu parles, les pauvres, occupées à jongler entre deux factures, un contrôle Urssaf et trois touristes pénibles en claquettes, et voilà qu’on leur prête des ambitions de favorite de cour, première courtisane du royaume, à croire que certaines élues ont tant peur de perdre leur place dans la hiérarchie imaginaire qu’elles voient des conspirations jusque dans une caisse enregistreuse. On en rirait si ce n’était pas si pitoyable de les voir trembler devant des fantômes qui leur ressemblent, mais en plus travailleurs et moins plaintifs. Incroyable d’imaginer être renversée par un complot ourdi dans l’arrière-salon d’une esthéticienne locale, une commerçante pourtant bien occupée mais que la déchue imagine en Machiavel de cabine UV, prête à tout pour prendre sa place. Elle jure que cette prétendue rivale manipule le maire, lui retourne le cerveau comme une serviette chaude et qu’elle tire les ficelles avec l’aide de son fidèle conseiller occulte, celui que certains appellent l’éminence grise, et d’autres le sphinx aux baskets rouges. Toute une théorie du complot cousue de fil blanc, mais qu’elle ressasse avec une telle intensité qu’on finirait presque par croire qu’elle rêve d’être renversée par plus talentueux qu’elle, au point qu’on ne sait pas ce qui est le plus pathétique, la fiction ou le fait qu’elle y croit vraiment.

    Et puis il y a les autres, les splendides bêtes à cornes du conseil municipal, toujours prêtes à dégainer leur indignation pavlovienne, mais jamais capables de suivre trois lignes d’un budget, deux mandats pourtant, dont un passé dans la majorité, tout ça pour voter délibération sur délibération sans comprendre ce qu’est un autofinancement, mais ça vient faire son numéro de diva en quittant la salle, comme si fuir le débat pouvait soudain leur donner l’air d’avoir un cerveau, en faisant savoir que la démocratie et leur propre nullité leur donnent la nausée. Elles partent, perchées sur leurs illusions, et imaginent qu’un claquement de talon équivaut à un argument politique quand tout le monde sait qu’elles fuient d’abord leurs propres limites, en espérant moins de tableaux financiers et plus de contorsions dramatiques.

    Pendant ce temps, notre chef de la révolution rouge-verte, le Che du marché du mercredi, se rend complice de cette mise en scène puisqu’il ne prend pas la peine d’écouter les débats avant d’intervenir pour dire des bêtises et s’étonne que la majorité fasse bloc tout en précisant que ça lui fait chaud au cœur, lui qui parle seul pour quatre, espérant capter la lumière du challenger alors qu’il n’intéresse visiblement pas les bookmakers. Il découvre avec stupeur qu’une équipe soudée peut parfois lui mettre une pile propre et chirurgicale, pauvre ami, il croyait que le romantisme militant allait suffire à renverser les colonnes du temple mais en politique locale, ce sont souvent les gens sérieux qui finissent par gagner, pas ceux qui déclament debout sur une caisse à savon. Il en fait une affaire personnelle, tout offusqué de prendre une rouste bien méritée, que voulez-vous, la réalité lui a manqué de délicatesse.

    Et puisqu’on parle de délicatesse, évoquons ce Talleyrand local, trop souvent mésestimé par ceux qui confondent gentillesse et faiblesse, sans doute une erreur de jugement liée à son physique iconoclaste et son regard sombre comme un héros de l’amer, il a compris que la stratégie compte plus que le bruit. On a senti passé le choc comme à Nougayork mais c’est en cachette qu’il a bâti et organisé un collectif capable de tirer des barrages en conseil municipal avec une précision qui ferait rougir une batterie côtière. On le disait meilleur ennemi de son voisin mais on les découvre aussi complices que copains, c’est rassurant dans une époque où chacun se prend pour le nombril du monde alors qu’il en est un autre orifice, et on peut ironiser, bien sûr, mais il faut reconnaître le talent quand il est là, et cette patate collective en tir groupé, c’est fin et c’est brutal mais c’est efficace et c’est assumé, pour une fois c’est presque beau à voir.

    Allez revenons au spectacle du quotidien, celui où une voix de fonctionnaire, ou de pseudo-fonctionnaire, peut-être une élue, ou un faux (gros) nez, en tout cas une vieille âme coincée dans un bureau qui n’a peut-être jamais existé ailleurs que dans sa tête, raconte des histoires de machine à café… à sa propre machine à café. Elle parle, elle commente, elle surgonfle des anecdotes et elle cite toujours le même nom de famille, avec une insistance tellement lourde qu’on voit bien où elle veut en venir. Peut-être une cinquième colonne dégonflée, peut-être juste une mégère d’arrière-cour, peut-être un observateur extérieur qui se rêve agent infiltré, peu importe, ce qui l’embête surtout, c’est la génération montante, trop moderne, trop rapide, trop sûre d’elle, trop habituée à travailler vraiment, tout ce qui heurte ses habitudes usées de gardienne du « on faisait pas comme ça avant ». Mais continuez comme ça, avec une personne comme ça, tant qu’elle médira, on saura qu’on avance.

    Pour la chatouiller et la picoter là où ça démange, il y a ce martin-pécheur, ah lui… Celui qui pèche et qui pêche, qui plonge et qui ressort, qui s’amuse et qui virevolte entre deux eaux et deux dossiers, laissant derrière lui un joli clin d’œil, comme une plume déposée en passant, mais on ne sait jamais vraiment s’il rit avec nous, de nous, ou en pensant à autre chose, mais enfin merci pour le clin d’œil, mon bon monsieur, même les oiseaux voient clair dans ce marigot.

    Et évidemment, il ne faudrait pas oublier Tim le timoré, celui qui nous rappelle qu’il faut parler de ceux qui n’existent pas pour les aider à exister, admirable souci de transparence métaphysique, s’il suffisait de nommer les absents pour qu’ils deviennent soudain utiles, on serait une métropole de cinquante conseillers vertueux. Il veut défendre ceux qui ne font rien, qui ne viennent plus, qui n’ont jamais compris, qui ne servent à rien, mais qui mériteraient, selon lui, une reconnaissance cosmique, bref, Tim, c’est un peu le médiateur interdimensionnel de la politique locale.

    Sans oublier la première éconduite, celle qui se drape aujourd’hui dans un silence de tragédienne mais qui fait fuiter les informations comme une collabo dans son bourgeois manteau, persuadée que personne ne remarque la traîne qui dépasse, elle glisse ses confidences à voix basse, croyant murmurer alors qu’elle hurle sa rancœur dans toutes les oreilles complaisantes. Elle se prétend loyale, discrète et digne mais on n’a jamais vu quelqu’un distribuer autant de petits secrets en si peu de temps, à croire que sa vengeance n’a trouvé comme arme que sa langue et qu’elle compte compenser sa mise à l’écart par un déluge de sous-entendus qui sentent le renfermé. En la voyant s’agiter, on comprend surtout pourquoi elle a été écartée, difficile de faire confiance à un panier percé, surtout quand elle anime avec fiel et ferveur un gang de filous et les filoutes, ces artistes de l’esquive qui disparaissent du paysage comme des mirages dès qu’il faut lever la main ou tenir un engagement. Portés disparus un jour, réapparus l’autre, jamais là quand il faut, toujours là pour réclamer quelque chose, on a vu leurs ombres, parfois, mais jamais leur travail. Et comme par magie, leurs procurations disparaissent elles aussi, évaporées, envolées, dissoutes dans la même brume commode qui les entoure, on ne sait pas si c’est de la négligence, de la malice ou un talent inné pour éviter toute responsabilité, mais le résultat est le même, les voilà comme souvent et bien avant absents, silencieux, inconstants et toujours persuadés d’être indispensables.

    Et pendant que tous ces personnages s’agitent, complotent, fuient, chuchotent, intriguent ou se drapent dans une dignité de carton, il reste vous, cher lecteur, chère commentatrice de l’ombre, qui continuez de lire tout ça, comme si vos soirées ne méritaient pas mieux qu’un tour de manège dans cette kermesse d’ego fatigués. Vous prétendez que vous ne suivez pas, que vous êtes au-dessus de ça, que vous ne vous intéressez pas aux coulisses mais vous voilà encore, à lire jusqu’au bout, plus assidu qu’un conseiller municipal en manque d’indemnité, car vous adorez ça, ne mentez pas, les coulisses, c’est toujours meilleur que la scène.

    Allez, ressaisissons-nous, arrêtons de geindre sur celles et ceux qui profitent du système depuis des années, qui encaissent sans agir, qui se réfugient dans le pathos dès qu’on leur annonce que le festin est fini, ils ont touché leur petit SMIC reconditionné chaque mois pour un rôle qu’ils n’ont jamais tenu, qu’ils ne viennent pas s’étonner si la fête s’arrête, ni s’offusquer qu’on demande enfin un peu de travail. 144 000 euros pour regarder ailleurs pendant 12 ans, il y a pire comme arnaque légalisée. FIN DES SIMULACRES LOCAUX.

    1. Jean-Philippe Quetel

      Pollux, c’est toujours amusant de rechercher l’image de soi que veut se donner quelqu’un sous un pseudo. Je vais te tutoyer car tu es un élu, tes allusions et tes propos récurrents ici et au CM le prouvent et que depuis 2014, pendant 2 mandats, tous les élus et leurs conjoints se tutoient. Alors inutile de se cacher plus encore si même moi je ne me cache jamais. Un peu de franchise et de transparence ne feraient pas de mal.
      Peut-être ne le sais-tu pas, le Maire m’a invité à venir le voir cette semaine.
      Fruit du hasard, ou non, le lendemain tu écris ce message en y incluant des sujets que nous avons abordés. Aussi, pour être transparent comme toujours, vais-je sortir de la confidentialité du long échange que nous avons eu même si pour moi c’est une première.
      Pour ton pseudo, j’imagine donc que tu fais référence présomptueusement au héros de l’Iliade, combattant et toujours vainqueur car immortel. Saches qu’en politique nul n’est immortel. Tu as su manigancer, avec quelques complicités c’est vrai, pour que des élus autour du Maire, depuis le premier mandat soient supprimés. Saches néanmoins que dans le monde politique, d’autres, qui eux se croyaient immortels, ont disparu à jamais du paysage par des ambitions démesurées, des trahisons ou des traitrises. Je t’invite à observer la vie politique au niveau national et même départemental.
      Mais, je me trompe peut-être. Peut-être faisais tu seulement plus modestement référence au Pollux du Manège enchanté, le chien de Zébulon, le personnage à ressort ?
      Je ne m’étendrai pas sur ton message qui n’est qu’insultant, grossier, calomnieux, agressif par tant de haine exprimée, plein de mensonges, de diffamations humiliantes voire délirantes tout comme je ne m’étendrais pas sur les parties incompréhensibles ou tellement fausses.
      Rassure toi, le Maire m’a confirmé que la Première Adjointe était virée, pour reprendre l’expression utilisée, que tu avais posé ce postulat conditionnel d’entrée avec quelques autres élus dont les noms sont connus puisqu’il lui a donnés.
      « La première éconduite », comme tu la nommes dans le torchon de basse fosse que tu as écrit, n’est plus un danger pour toi par la proximité qu’elle a eu ou aurait avec le Maire depuis 12 ans. 2 questions me viennent alors à l’esprit :
      – Quel intérêt as-tu aujourd’hui de la trainer dans la boue, de continuer à l’insulter comme d’autres, à l’humilier en lui consacrant un paragraphe entier, véritable déluge de fiel, alors même que tu as réussi à obtenir du Maire qu’il la vire ?
      – Jusqu’où certaines et certains mettront ils en jeu leur honneur et leur dignité pour cautionner tout cela alors qu’ils disent ne pas partager ?
      Je te rassure, la Première Adjointe depuis 2014 n’imagine pas un complot ourdi par je ne sais qui, dans un délire rancunier comme tu le prétends, à propos d’une honorable commerçante qui aurait des ambitions. Ces affirmations ont été faites lors d’une rencontre avec une certaine élue volontairement sortante disant « Il ne faut pas que Jean-Claude se représente en 2026…de toute manière tu verras la prochaine Maire de Pornichet ce sera (elle cite le prénom de cette commerçante), elle a les capacités et cela aura de la gueule d’avoir enfin une femme Maire à Pornichet » Fin de citation ! Pourquoi ce enfin ? Tout simplement parce que la « virée » lui avait dit qu’elle ne se présenterait jamais comme Maire et qu’elle n’avait pas cette ambition.
      Au cours de cette entrevue, le Maire m’a confirmé l’identité de ces auteurs cachés sous des pseudos multiples et m’en a même désigné nommément un autre que je n’avais pas identifié mais dont le courage qu’il semble afficher dans la vie n’est pas toujours à la hauteur des enjeux et des exigences que l’on pourrait attendre d’un élu. Mais est-il le seul ?
      Que le Maire ait cautionné cela en toute connaissance, ce n’est pas trop à son honneur, lui qui n’aime pas les insultes et a même déposé plainte en son temps. En revanche, il m’a affirmé vous avoir donner l’ordre de cesser de le faire. Cependant, à la lecture de ton nouveau torchon, manifestement vous n’avez que faire de ce qu’il vous demande. Vous lui auriez échappés, n’en feriez-vous qu’à votre tête en l’absence de toute loyauté réelle à son égard, jusqu’où le trahirez vous ? A sa place, je m’inquiéterais et ne serais pas serein quant à un avenir incertain.
      Nous nous sommes remémorer ton arrivée sur sa liste de 2020. Tu étais venu le voir pour proposer tes services en qualité d’Adjoint, te présentant comme étant « en marche » et l’assurant qu’en te prenant sur sa liste avec 2 autres personnes, il n’y aurait pas de liste « en marche » contre lui aux élections de 2020. Il ironisait même à ce moment en disant que tu n’étais pas resté longtemps « en marche ». Cela nous a permis de nous rappeler que LR lui avait demandé si, parmi ses élus, il ne pourrait pas trouver une femme pour être en binôme avec un homme de la Baule aux prochaines cantonales de juin 2021 sous l’étiquette LR. Il en parlait à la « première éconduite » comme tu te plais à la nommer dans le meilleur des cas. A croire que son incompétence, son inaction, son absence de loyauté, son manque de confiance en elle tels que tu t’acharnes à la dépeindre lui avaient échappé. Elle lui répondait qu’elle n’était pas intéressée pour plusieurs raisons :
      – Elle avait une activité professionnelle déjà prenante et souhaitais s’investir seulement pour Pornichet avant tout
      – Elle considérait que ce serait une erreur politique car ce ne serait pas un binôme représentatif du territoire cantonal. Et oui, elle a une expérience et un sens politiques que de nombreux politiques de tous bords lui reconnaissent. Je t’avoue même que parfois cela agace le Maire quand ils lui disent qu’il a la chance de l’avoir trouvée. Peut-être est-ce une des cause d’ailleurs de ta volonté de l’écarter pour ne pas nuire au sentiment que tu voudrais laisser paraitre que tu aurais un sens politique.
      – Le Maire ayant dit depuis 2014 qu’il ne briguerait aucun autre mandat pour se consacrer uniquement à Pornichet et qu’il ne tolérerait pas que des élus briguent d’autres mandats, elle s’inscrivait dans cette démarche, démarche dont il est peut-être sorti opportunément.
      Pour tous les éventuels lecteurs, c’est ainsi que l’Adjoint aux Finances a été élu Conseiller Départemental sous la bannière LR. Ne s’est-il d’ailleurs pas drapé lors du dernier CM derrière le rôle essentiel qu’il aurait tenu, de son abnégation totale, de son engagement sans faille pour obtenir des subventions dont Pornichet a bénéficié en oubliant de préciser que le Département attribue des subventions du même ordre à d’autres communes dans les mêmes circonstances sans conseiller départemental et même ailleurs sauver le CIS.
      J’ai rappelé au Maire son rôle de conseiller politique du Président PS du Conseil Régional qu’était Jacques Auxiette. Je lui ai rappelé, après que Christophe Clergeau eût été battu en 2015, toutes les tentatives pour dénicher un poste clé et rémunérateur auprès de la gauche départementale, nantaise plus particulièrement, que je connaissais bien et qui ont été vaines. Vraiment un homme de convictions au parcours politique rectiligne certainement pas conduit, lui, par des ambitions et la recherche d’indemnités. Non, bien sûr, avec un tel parcours, il démontre, en plus de montrer qu’il est très souple pour faire le grand écart, qu’il est prêt à saisir toutes les opportunités, à se renier pour arriver à ses fins et même à tuer le père, sans honte, sans état d’âme pour y parvenir dès lors qu’il jugera ne plus en avoir besoin.
      A ce propos, cet Adjoint aux finances s’acharne à dire que des élus n’ont rien fait depuis 2014, ni depuis 2020 sauf à toucher indument des rentes sans rien faire.
      En 2020, alors qu’il venait d’être élu avec d’autres nouveaux et touchaient des indemnités du même niveau que tous ces « fainéants profiteurs », les a-t-on vu le samedi et le mercredi aller sur le marché, pour aider les services déjà très sollicités, contrôler les autorisations de se déplacer pendant le confinement décrété le lendemain même de l’élection et alors même qu’aucune activité commerciale ne fonctionnait sauf celles de première nécessité ? Les a-t-on vu aider à la distribution de denrées dans les associations caritatives comme l’épouse du Maire par exemple ? Nul n’en a souvenir.
      Que veux-tu, l’histoire est redoutable et ne saurait être contesté sauf à être taxé de révisionnisme d’opportunité.
      Enfin, tu rappelles à l’envi que ces Adjoints ont touché indument sans rien faire depuis 2014 près de 144000 euros, le prix d’un studio. Je peux comprendre que présenté comme cela, cela puisse choquer l’électeur, voire l’offusquer. Mais c’est le but. Tu oublies simplement de préciser que c’est sur 144 mois soit près de 1000 euros bruts seulement soit même pas un SMIC comme tu le prétends. et n’oublie pas que si le Maire a été réélu, c’est sur le bilan réalisé grâce à l’action et l’investissement de ceux qui n’auraient rien foutu. Oui, arrête donc ton simulacre irréaliste.
      En revanche, opportunément, tu n’étales pas d’autres chiffres qui sont publics que tu aurais dû, par honnêteté déjà intellectuelle a minima, consulter avant d’attaquer leur propre honnêteté sur ce point.
      Mais, c’est vrai, à part toi, personne n’est capable de comprendre les chiffres. Tu serais le Pascal des chiffres, le Mozart local de la finance.
      Juste 2 chiffres à te soumettre et à soumettre aux lecteurs. La « première évincée » a touché, depuis 2021, 61799 euros bruts pour ces mandats intégrés dans les 144000 euros que constituent ce scandale selon toi. L’Adjoint aux finances, par tous ces mandats a touché en 4 ans la modique somme de 161142 euros bruts soit plus que ce qu’elle a touché en 12 ans. Avec quel investissement ?
      Ce qui est scandaleux avant tout dans tout cela, au-delà des propos insultants et injurieux qui sont tenus, c’est que les différents auteurs de ces posts osent travestir la vérité.
      Jamais des mensonges ne feront une vérité et cela est une vérité.
      Comme l’a dit un vieil homme politique, « on tutoie en public ceux que l’on insulte en privé et ensuite, on va diner avec les vices qu’on fait métier de dénoncer ».
      Nul ne devrait pouvoir se prévaloir de sa turpitude pour se faire élire, a dit un autre.
      Mais je ne voudrais pas être trop long au risque de te lasser même si il y a encore tant de choses, avérées elles, qui pourraient être dites. Mais, comme tu m’y as invité, à défaut d’aller à un manège inexistant, je ne voudrais pas rater ma verveine du soir.

  42. rehar

    Pollux est un satellite naturel de la planète Saturne.
    Toute ressemblance avec l’équipe municipale (et son articulation) est fortuite.
    Pollux, malgré ses compétences et son aisance oratoire, reste un individu très contestable tant son comportement est détestable envers une assemblée d’élus apathique venue écouter en somnolant son exposé.
    Malgré un certain nombres d’inexactitudes, notamment concernant l’utilisation des fonds récoltés liés à la surtaxe des résidences secondaires , et quelques attaques masquées ad hominem il a déroulé son spitch sans question ou intervention notable.
    On peut se demander à quoi sert le Conseil Municipal à Pornichet.

  43. Michèle Adam

    Rehar ( Raher?) votre pseudo est extrêmement gênant.
    Pollux, votre pseudo est aussi le nom d’un chien dans une série télévisée des années 60. Pollux est addict au sucre. Vous devriez manger plus de  » susucre » dixit le personnage, cela vous rendrait moins méchant. « Le Manège Enchanté » se situe dans le jardin du père Pivoine où la petite Margotte ( la communauté Pornichètine) y retrouve ses amis qui la représentent dont Zébulon, un magicien ( le Maire?) au centre du manège ( le Conseil) qui vous téléporte selon la tendance du moment par sa formule magique  » tounicoti, tournicoton… ». C’est une série où il n’u a pas de méchants…Donc rien de malveillant dans cette remarque.
    J’ai trouvé ce conseil municipal du 12 novembre 2025 fort intéressant. parce qu’il est extrêmement représentatif de sa réalité. J’ai noté 4 pages de commentaires. Je vous en dispense et serai synthétique.: c’est votre petit Noël!
    – Monsieur Raher s’est valorisé en début de présentation d’un ROB dans une démarche de reconnaissance et de valorisation de l’équipe. Il est inévitable pour l’équipe en cours de mandat de ne pas faire référence à ses projets.
    – Le préparation coopérative est nette. Monsieur Raher ne doit pas laisser tomber ses fins de phrases ( souvent le dernier mot n’est pas audible). Le conseil s’adresse au public et non aux collègues « potes » des commissions.
    – Le Conseil est composé d’une majorité d’expert techniques, financiers, constructeurs…
    -Il Manque d’imagination, de créativité , de projet humains ou social. Pas de rêveurs…
    -On copie, s’inspire d’exemples mais on ne crée pas de projet spécifique: bonne intention dans l’immeuble intergénérationnel mais rien sur le projet de fonctionnement ( un vague local commun, jardin commun, deux éducateurs… les vieux d’un côté , les jeunes de l’autre???, idem Maison médicale . Mais le mot projet signifie pour cette équipe ,exclusivement projet de CONSTRUCTION, avant de considérer la construction de projet humain ou social.
    – Identité balnéaire: mais c’est l’identité de la commune qu’il faut travailler dans son contexte environnemental global.
    – Le tourisme change. Fini les 3 semaines de congés payés sur le même site en faisant travailler l’épicier du coin. ( L’épicerie de Sainte Marguerite, bureau de poste du quartier est en vente? Pourquoi? ) De plus en plus de camping -car. La culture du détravail: je travaille juste pour mon nécessaire, pour avoir du temps pour profiter de la vie: 3 jours par mois. Location de meublés de vacances détournées: après avoir été déclassé Airbnb, mon voisin, spéculateur amateur loue à un artisan menuisier qui a transformé sa dépendance en atelier…Il faut réviser totalement et de manière intercommunautaire, le tourisme. La Pump track : ok. Mais faites le couvert. Les gens ( locaux et touristes) ont besoins de lieux d’activités abrités. Des petits musées sont sous valorisés.
    – Le fonctionnement de la ligne 13 est à revisiter sérieusement. Les 3 Maires s’en sont félicités mais les objectifs ne sont pas remplis ( dommage, cette ligne est très importante).
    –  » On a oublié de vous informer…Vous n’êtes pas au courant de tout » Dit trop souvent le Maire. C’est bien le point faible…Tous les conseillers devraient avoir le même niveau d’informations.
    – Les trottoirs et les chiottes:  » adapter les trottoirs pour les personnes à mobilité réduite » Oui. Mais d’abord faire en sorte que les trottoirs soient praticables afin qu’une entorse à cause d’une absence d’entretien ne vienne pas réduire notre mobilité. Les WC: Cystites et chiasses déconseillées à Pornichet.
    – 20% de logement social est pour moi une exigence absurde. Avant tout: quelle politique sociale selon les besoins de la ville, du profil démographique de la commune. Comment accompagner nos concitoyens pour que le logement social ne soit pas une solution « à vie », mais un véritable tremplin d’intégration et d’équilibre comportemental.

    Voilà ma modeste participation citoyenne. C’est pas mal pour un espace de débat quasiment nul.

    Pour conclure: rééquilibrer et mixer davantage le profil des nouveaux élus. Monsieur Pelleteur candidat à un troisième mandat? Qu’ils aille au devant de ses lauriers s’il les mérite. Qu’il assume ses fautes s’il en a commise. On n’est pas obligé d’attendre 6 ans pour changer …

  44. Val

    Quand la loyauté rencontre le mépris. Pornichet n’a que faire des états d’âme de tel ou untel, de déballages incongrus sur les réseaux. Dans cette ambiance générale comment voulez-vous que les sujets soient traités sérieusement ? De quelle impartialité ? Tout se déroule dans le dos des pornichétins : Ports – urbanisation – urbanisme –logement – infra structures&sports – santé & inter génération, en dépit des besoins inventoriés. Dans ce contexte où personne ne veut voir l’éléphant dans la pièce, aucune évolution possible. « Il n’y a pas matière à ce que tout le monde soit au courant » se permet-il en CM, ce qui en dit long sur son sens de la discussion. La politique de vitrine. Le problème est cette désorganisation à laquelle nous nous sommes habitués.
    Le marasme immobilier profond, la gestion politique inexistante et l’ensemble ne reflète pas une éthique exemplaire.
    Concertation, consultation, transparence, les grandes oubliées des débats. L’ambiance politique acerbe et la défiance qui traverse les esprits démontrent qu’un autre type de leadership est possible.

  45. Michèle Adam

    Oui Val ,OK .Que suggérez- vous? Qui et que sollicitez vous pour accèder à cet autre  » leadership?
    Allez-y, allez au bout …Faîtes un appel.

  46. Placide

    Tiens c’est étrange, ça n’offusquait personne quand il envoyait paître Mr Nicosia sur son pré vert. Ça riait sous cape quand Mme Fraux se faisait rembarrer. Ça amusait de voir Mr Belliot en prendre plein son grade. Et maintenant les éjectés pleurnichent. Avoir mis douze ans pour ouvrir les yeux. Voila douze ans qu’ils ne veulent pas comprendre, font semblant de ne pas comprendre, pour conserver leur petit privilège : participer au pouvoir. Quel festival de paons !
    Douze ans plus tard prêts à s’écharper autour d’un pot de miel hors de leur portée. Quel butin, quelle bataille, quel trophée ont-ils glanés ? L’inanité ! Aujourd’hui leur leader voudrait réinventer un autre Pornichet, mais sans eux…
    Miser toute la confiance sur l’unicéphale, quel gâchis. Sans parvenir au moindre accord ni à la moindre décision.
    Se ranger soudain au rang des anonymes n’a rien de facile après tant d’années données à s’effacer. Cela soulève tout de même des problèmes autrement plus subtils : qu’est-ce qu’un travail passionnant, un travail dégradant ?
    L’ennui est-il le corrélat d’une mission accomplit par nécessité et non par choix ?
    La honte ne serait-elle pas la prise de conscience du malaise d’autrui ? Son absence envers lui est admettre le triomphe de la muflerie.
    D’après un célèbre Fiodor « La tyrannie est une habitude » Dostoïevski. En tout cas, depuis 2008 elle a toujours la même face. Un grand classique de tous les dominants quand les nominations dépendent d’un seul homme qui en joue ou s’en amuse.
    Pornichet sera entre bonnes mains quand il aura fini de penser comme un seul homme.

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