Peut-on encore parler de gauche lorsque le Parti socialiste vote le budget de la Sécurité sociale à l’Assemblée nationale ?
Peut-on parler d’opposition à La Baule quand on voit Madame Boyé — sans doute très sympathique — avaler tant de couleuvres face au maire macroniste ?

Où sont les propositions de rupture avec la politique menée et soutenue par le maire de La Baule ?
Qu’en est-il de la précarité, du logement, de l’inflation, du coût de l’énergie et de l’alimentation ?
Quid de celles et ceux qui ne peuvent plus se chauffer ?
La candidate annonce dans Ouest-France que son programme sera détaillé en janvier.
Parfait. Nous verrons alors si la gauche néolibérale bauloise est capable de renverser la table en proposant une véritable politique de rupture.
La Baule n’est pas seulement une ville « bling-bling ».
Renseignements :
labauledemain@gmail.com