La ville de Pornichet reste ferme sur ses positions et l’application de la loi, ça en est parfois ridicule.
Maxime et Guénolé, étudiants, avaient ouvert un stand de glaces éphémère sur le remblai de Pornichet. Ça marchait très bien avec un nouveau concept de glaces en copeaux. Mais ça n’a pas plu à la ville qui leur a demandé de démonter.
Les deux étudiants, dans un souci de conciliation, ont proposé de démonter chaque soir. La ville reste bornée et explique que la loi est la même pour tous. Un entretien avec le maire n’a rien donné, révèle Ouest France. “ La rencontre était glaciale, il n’était pas très content de nous voir ”, soulignent les deux étudiants.
Il semblerait que le problème vienne du glacier voisin qui a vu d’un mauvais œil la concurrence s’installer.
Une pétition a recueilli 800 signatures en vain. « Nous avons investi tout notre temps, notre énergie, notre motivation et l’argent que nous avions mis de côté pour faire vivre ce projet qui a suscité un engouement incroyable », écrivent-ils.
Reste que la ville de Pornichet n’est pas à une incohérence près quand elle autorise une cabane à frites dans le square du monument aux morts.
Souhaitons aux deux étudiants de trouver une solution de secours.
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Cet article a 3 commentaires
Le voisin qu’a cafté BOYCOTT
Bonjour,
J’étais en train d’attendre à l’accueil pour ma nouvelle carte d’identité quand ces 2 jeunes sont arrivés comme des furieux. ils ont été particulièrement agressifs et insultants avec les dames présentes. Je peux vous dire que j’aurai été très choquée si le maire les avait accueillis avec un grand sourire, en leur faisant des courbettes…
En tant que jeunes, ils doivent aussi apprendre la politesse, le respect des personnes, sans oublier celui des règles.
peut-être que s’ils avait posé la question à leur parents, ils auraient fait les choses dans le bon ordre.
Dominique
Il y a une façon de faire et de dire les choses et pour bien connaître le maire la diplomatie n’est pas sa première qualité.