Ils sont « bénévoles » à l’association du cinéma Toile de Mer délégataire d’une délégation de service public confiée par la mairie, mais rencontrent des difficultés avec le conseil d’administration.

Ils dénoncent des dysfonctionnements à cause de décisions unilatérales et autoritaires qui empoisonnent l’ambiance et occasionnent du mal être. Une censure de la parole et un découragement des initiatives et plus grave encore de la maltraitance sont à déplorer. Les bénévoles très actifs, ressentent du mépris, sont démotivés et ne s’estiment plus représentés, ni épaulés par le conseil d’administration. Ils s’inquiètent pour les salariés qui subissent ce climat délétère. Au bout d’un peu plus de 2 ans d’existence, quelques démissions sont déjà à déplorer. »
Cet article a 16 commentaires
Bonjour,
La présentation des choses est un peu courte…
je fais parti des bénévols, et je peux simplement vous dire que le problème vient encore et encore du même couple.
Un coupe déjà bien connu dans d’autres associations pour le même comportement : tyranique, intrusif, autoritaire, voulant toujours commander les autres et considérant que l’association et le cinéma est un peu leur propriété…..
Quand j’ai compris que ce couple avait un historique aussi lourd qu’un 44T chargé à bloc…. je me suis demandé pourquoi on les avait laissé entrer dans l’asso. Au début ça m’a plutôt déprimé.
Maintenant que le groupe est ok pour les « inviter » à partir, ils sont encore plus méchants qu’avant.
Dur Dur pour les bonnes volontés je cotoie chaque semaine à « La Toile de Mer »
C’est vrai qu’ils sont bizares. À l’ouverture on leur a proposé une campagne de publicité gratuite pour les aider à se faire connaître, et de diffuser leur programmation comme on fait au Pouliguen et à la Turballe. Ils ont refusé. Ils doivent être aux ordres….
Philippe vous vous dites a cotedamour info,libre: libre et indépendant, honnête et juste..
il me semble que vous devriez entendre aussi l’autre partie et rechercher l’objectivité.
Philippe
Rédaction : Nous avons reçu plusieurs informations qui se plaignent du bazar ambiant. Nous avons vérifié il y a effectivement des comportements répréhensibles. Nous ne ferons pas d’effort avec la toile de mer qui nous a méprisé. Maintenant si vous avez des choses à dire vous pouvez adresser un droit de réponse.
bonjour, je suis bénévole, et je suis très satisfaite de ce cinéma,
Comme Benoit, j’ai subi les comportements indignes de ces 2 personnes, elles ne se complaisent que dans la discorde, je les plains,
je connais de nombreux bénévoles qui en ont marre de les voir faire leur petite guerre,
je pense que le CA fait voter les décisions à unanimité, dommage que ces personnages ne soient pas d’accord,
c est du bénévolat, s’ils ne sont pas satisfaits qu’ils s’en aillent voir ailleurs si l’ herbe est plus verte !
j’aime mon cinéma VIVE LA TOILE DE MER
Bonjour
Eh ben ! Que se passe-t-il à La Toile de Mer ? Quand Benoît dit que l’article est un peu court, n’est-ce pas son intervention qui est un peu courte ? Dans l’article il est question de démissions, de mal-être et même de maltraitance. Ce n’est pas rien, et c’est inquiétant. Alors réduire ces lignes à une accusation de deux personnes, n’est-ce pas une manière de détourner le problème de fond ? On serait en droit de se demander si le commentaire de Benoit, n’est pas la continuité de la maltraitance citée dans l’article étant donné la virulance des propos qu’il y tient, proche de la diffamation. Personnellement je suis très choqué. Si la gouvernance défaille, alors il faut qu’elle soit remplacée. C’est bien triste que dans un cadre associatif on se retrouve dans un cadre similaire à celui de certaines conditions de travail.
L’exemple venant du haut, c’est sûr que si ces personnes se comportent comme le maire en conseil ça ne doit pas arranger les interrelations entre bénévoles. Lui qui est infoutu de faire un discours correct en direction du bénévolat s’est encore pris les pieds dans le tapis au forum des assos, poussant la comparaison en taclant l’une d’elles qui selon lui n’aurait pas besoin d’aides car déjà trop garnie en volontaires. L’Outil en Main appréciera cet appel à contresens…
Sa dévotion nous touche, autant que ses humiliantes embardées. Quand on est sûr d’être réélu à 78% (…)
Tout va ainsi en pays candide !
Quel talent cher Benoît! Vous devriez postuler comme journaliste à la revue Détective ou Police Justice. Vous pourriez proposer un titre genre: » Le couple infernal de la salle obscure » ou » Une araignée dans la Toile de mer » ou bien encore écrire un second scénario des « Diaboliques ». Mais peut-être, êtes- vous HPI ( haut potentiel intellectuel); personne ne vous l’a encore révélé mais vous laissez transparaître ( c’est une impression) qu’au fond de vous -même vous vous sentez nettement supérieur.
Vous employez des mots terrifiants en parlant de ceux que vous avez choisi comme boucs émissaires: méchants, mauvaise réputation, intrusifs, tyranniques.
Ceci dit je pense qu’en tant que tiers se serait une erreur de prendre parti pour les uns ou pour les autres.
Ce serait passer à côté du vrai problème. Et le problème mérite d’être traité sur le fond car le Cinéma n’est pas une cour de récréation d’école primaire où on se fout des coups de galoches et où on se tire les tresses. C’est du niveau harcèlement scolaire ce que décrivez là:…ensemble de violences verbales délibérément dirigés contre des personnes qui en souffrent. Tout cela parce que l’autre ne pense pas comme vous et que vous rejetez sa différence. Vous les stigmatisez ( ils étaient déjà comme ça dans d’autres associations…ils ont un lourd historique…). Or vous ne jouez pas dans une cour d’ école primaire. Etre bénévole dans un Etablissement Recevant du Public ( dont enfants, handicapés, personnes âgées..) qui est délégataire d’un mission de service public confiée par la MAIRIE, c’est sérieux. Avez-vous pris connaissance du code de déontologie du bénévole? Ceux qui exercent des fontions techniques ont-ils une lettre de mission? Le public est-il informé de l’existence de votre registre d’hygiène et Sécurité ( obligatoire en ERP)et en a-t-il l’accès? Chaque bénévole a-t-il été formé à la prévention des risques incendie? Une simulation d’évacuation a-t-elle bien lieu tous les 6 mois? Savez-vous utiliser les extincteurs? Avez-vous un cahier de réglement de fonctionnement ou un registre ( accessible à tous) sur lequel chaque technicien note ses observations et sur lequel le Président ou le Directeur apporte manuscritement une réponse? La gestion associative doit se plier au cadre de la loi. Et à ce titre un Conseil d’administration n’est pas un conseil de discipline ni un tribunal. Y-a-t-il un pilote dans cet avion? Quelques bonnes formations à l’analyse systémique et transactionnelle, la mise en place d’outils obligatoires , une bonne supervision d’équipe …ET hop! D’autant plus que vous évoquez les bonnes volontés.
AH mince, j’ai oublié la Médiation! Bien sûr il faut une médiation comme la définit la LOI: un médiateur formé, neutre, impartial, désintéressé et qui ne participe pas aux votes, dans un lieu distinct.
Nul n’ a a se soumettre à des statuts ou un règlement intérieur qui ne répond pas aux exigences de la loi.
Un site d’infos n’est pas fait pour régler ses comptes. C’est pourquoi je suis choquée par les interventions de Benoit et Catherine Blandin qui s’acharnent sur des personnes alors qu’il y a un vrai sujet grave dans cet article. Comment peut-on faire souffrir des gens qui viennent donner de leur temps dans une association ? Probablement des luttes d’ego, je ne vois que ça ou peut-être un désir de pouvoir. En tout cas, c’est vraiment inquiétant.
Qui est le catalyseur de ce mal-être profond qui se répand jusque dans les services ? Ce mal n’est pas nouveau, il était tout bonnement latent. La fonction d’élu demande un engagement de tous les instants. Une vigilance sur les comportements. Tenir des discours en assurant de son soutien ne suffit pas, il en faut la preuve concrète.
Quand on fait certaines choses, il faut les assumer c’est tout !
Le bénévolat est fait de passion, de dévotion, et pour beaucoup d’abnégation. Le rôle de dirigeant associatif n’est en rien comparable à celui de chef d’entreprise, ni à fortiori de premier magistrat, il demande, à minima, de la pédagogie.
Tous les gens côtoyés dans ces milieux sont dans le dur. Rien à voir avec ces fonctions où tu gagnes bien ta vie. Cette pression sociale est terrible avec des codes à l’inverse de ce qui devrait se passer. Toutes les mauvaises attitudes qu’on laisse passer viennent polluer cet esprit d’équipe nécessaire à la vitalité d’un groupe. Aujourd’hui l’individualisme est hyper contagieux et malheureusement on ne peut pas compter sur le soutien d’élus (es) car distants, voire toisant, ils ne participent plus authentiquement, d’empathie et sens du devoir, à vos préoccupations. Triste constat.
Malgré ce point noir que la mairie n’a pas vu venir, la culture est plutôt bien dotée, grâce à la compétence de son adjointe. Dans des secteurs différents les responsables remplissent-ils tous leurs missions ? Prendre soin de tous, pratiquants, adhérents, bénévoles, salariés et prestataires est le rôle essentiel que doit assurer une municipalité.
Le mal est plus profond qu’on ne le pense… La faute à la médiocrité des relations ou l’ingérence administrative ?
Made.
J’opterais plutôt pour la médiocrité mais sait-on jamais.
J’ai lu dans votre article que le cinéma de Pornichet est géré en DSP (Délégation de service public).
Par son financement le cinéma appartient donc à la collectivité et la DSP est un mode de fonctionnement qui offre un avantage considérable à la commune qui confie la gestion à l’association.
Je pense que ce climat qui paraît délétère devrait inciter la municipalité, garante et sous contrat avec cette association partenaire, à intervenir rapidement, et ce serait tout à fait légitime, en mettant en place un audit permettant d’avoir une vue d’ensemble de ce mal être qui semble provoqué d’après votre article par un conseil d’administration autocrate. Cela permettrait de faire revenir un climat apaisé pour le bien des bénévoles et des spectateurs sensibles certainement aussi à l’ambiance de l’établissement.
Il serait lâche et déloyal d’utiliser ce disfonctionnement comme argument de campagne contre la majorité sortante. Que l’on apprécie cette majorité ou non. A l’origine il y a eu une idée de cinéma, puis un projet puis une réalisation. C’est une réussite ; Toutes les villes ne possèdent pas de cinéma. Les Pornichétin(e)s et leurs visiteurs ont de la chance . Il ne faut pas gâcher cette promotion du 7ème art; Il ne faut pas décevoir le public, cette clientèle, ces usagers. Ces gens qui sont en quête de rêve et de culture. Il faut respecter les bénévoles plein d’amour et de passion qui offrent leur temps et leur énergie. Donc pas de couple bouc émissaire, ni accablement d’un président ou d’un directeur. Je pense que la collectivité territoriale de Pornichet n’a pas mesuré l’ampleur du projet. Hôte de caisse, de bar, animateur de débat, projectionniste, les bénévoles font preuve d’amour et de passion . De plus, sur le plan technique, ils se substituent à des professionnels. La commune aurait-elle les moyens d’offrir un cinéma à ses administrés si elle devait payer des salariés ? ( tenue de la caisse, bar, animation de débat, projectionniste) Non. Alors respectons tout le monde. Soutenons toutes les bonnes intentions .
Jean-Claude je ne partage pas totalement votre proposition d’audit , car cela a un coût et n’est pas forcément utile , mais » Faire revenir un climat apaisé pour le bien des bénévoles ( mais aussi président et directeur qui sont aussi victimes d’un manque d’anticipation sur l’ampleur du projet et d’un déficit de formation et d’accompagnement en matière de direction et de pratique managériale) et des spectateurs sensibles certainement aussi à l’ambiance de l’établissement » .Je suis à 100% OK avec vous.
Un audit pourrait remettre en cause : un couple de boucs émissaires passionnés du cinéma depuis la naissance de l’idée qui a accouché d’un vrai projet et d’une réalisation,. Un président, un jeune directeur ( subir un audit cela peut avoir un impact négatif sur sa carrière. Qu’a-t-il fait de mal?), un commentateur maladroit membre du conseil d’administration. Est -ce utile de mettre des gens en souffrance? Est ce le projet du cinéma de faire souffrir ceux qui font sa vie?
NON. La question: comment on répare tout cela et comment on avance dans l’intérêt de notre collectivité, le respect , la valorisation et la protection de tous.? (Un conseil de sages qui accompagne , conseille , supervise et protège ?). Moi je suis OK. Je donne.
je suis très triste de ce conflit. Pour moi, simple client pendant mes vacances, d’un cinéma que j’aime, la solution ce serait que tous les « acteurs du conflit » soient co-auteurs d’un scénario de sortie de crise.
Je pensais que le cinéma c’était la ville qui payait. Et j’apprends que ce sont des bénévoles d’une asso qui gèrent gratos. Merci à eux.
Mais que ces bénévoles soient en souffrance ce n’est pas normal. Que fait la municipalité qui tire profit de ceux qui donnent, jeunes et retraités, du temps et de l’énergie?
La ville se fait de la pub d’avoir un cinéma. Alors elle doit protéger les bonnes volontés. Les respecter. Les protéger. Leur dire merci. Les aider. Leur exprimer gratitude et reconnaissance. Si les bénévoles se bouffent la gueule (bénévoles de base, actifs, CA et bureau) c’est que la ville s’en bat les, C… les castagnettes…
Je suis choqué par les commentaires de Benoit et Catherine Blandin ; des paroles aussi violentes et proches de la diffamation donnent une idée en effet de l’ambiance qui règne dans ce cinéma et de la manière dont peuvent être traités certains bénévoles. Il ne faut pas être naïf et suivre la masse ; on sait combien des personnes peuvent devenir des boucs émissaires et des souffres douleur. Et cela peut avoir de très graves conséquences sur leur santé. Pour moi ces propos qui salissent, meurtrissent et humilient sont intolérables.