Vacances à Pornichet, se ressourcer à la mer, profiter de la plage magnifique, des panoramas de notre grandiose baie ou subir le tintamarre permanent assourdissant et assommant des tam-tams et des basses ?
» Camping à ciel ouvert.
Musique forte, rengaines radio de ces glorieuses cinquante dernières années, rabâchées, remâchées.
Décérébration, décivilisation, cris, sifflets de populace friquée aculturée, au bar à la plage, les basses couvrent le bruit de la mer, on s’éclate.
Musique africaine dans les rues les soirs aux tam-tams, tonitruants, assommants, assourdissants.
Jusqu’à tard dans la nuit il faut tenter d’apaiser ma belle chienne, paniquée par ce tintamarre.
Les sifflements de fusées de feux d’artifice rythment la séquence lobotomisatrice pour la populace décérébrée et embrigadée du joyeux vivre-ensemble.
Renoncer à des siècles de pensée pour se vautrer dans la barbarie qu’ils croient libre mais qui a tué, asservi, massacré, et aujourd’hui amuse.
En attendant le pire.
Bravo Pornichet. »